L'entrée en application de Ci5 a été finalisée à Marseille le 16 décembre 2018. "Tous les dysfonctionnements ont été rectifiés. Le nouveau CCS fonctionne aujourd'hui en rythme de croisière", souligne Dominique Lebreton, membre du directoire, ajoutant que les équipes de l'entreprise continuent de prendre en compte les besoins des utilisateurs. Dans ce cadre, des ateliers d'experts par profession ont été créés. Le premier atelier s'est réuni avec le Syndicat des transitaires de Marseille-Fos (STM) le 9 janvier. "Son objectif était de prendre en compte les évolutions demandées par la profession", a-t-il expliqué. D'autres ateliers se tiendront avec les agents maritimes, les manutentionnaires et la Douane.
Dans le même objectif, MGI prévoit également d'organiser en 2019 une rencontre globale tous les trois mois avec la communauté portuaire, en présence des associations portuaires.
Cette année, l'entreprise informatique va rendre disponible sur smartphone l'application "Ci5 mobile". Elle permettra aux transporteurs routiers d'avoir à disposition la fonction "OCR" (un système de reconnaissance du numéro du conteneur). Cet outil, qui est complémentaire de la fonction tracking, déterminera la date de sortie du conteneur vide. L'application, disponible avant la fin du premier semestre, va permettre, selon Dominique Lebreton, d'afficher le temps prévisionnel du temps d'attente sur les terminaux et donnera également la possibilité de déclarer un incident sur le parcours.
À propos de la commande de transport papier auprès du transporteur routier, il souligne les avantages de la dématérialisation. Le transporteur routier Astouin joue le rôle de pilote.
"On développe avec les autres places portuaires qui vont migrer vers Ci5 le module vrac, le module groupage, le module dégroupage", souligne le responsable, indiquant que ce dernier module est fortement utilisé Outre-Mer.
"Migration dès 2019 pour d'autres places portuaires"
Autre preuve que l'activité sera soutenue en 2019 pour les équipes de MGI, l'entreprise marseillaise vise la migration d'AP+ vers Ci5 au premier semestre des ports de Dunkerque, lorsque les modules groupage et dégroupage seront opérationnels, Bordeaux, puis Toulon et Sète. Outre-Mer, la mise en production de Ci5 à Papeete est prévue le 27 mai et la migration à La Martinique avant la fin du premier semestre.
À Tahiti, les organismes vétérinaires et phytosanitaires entrent dans le système Ci5 le 27 mai, annonce Dominique Lebreton. Et d'ajouter : "On réfléchit en outre à un lien automatique entre Ci5 et le système Trace visant à suivre les marchandises ayant fait l'objet des contrôles vétérinaires et phytosanitaires".
Il indique que Ci5 doit évoluer de manière continue dans les mois à venir. Statistiques, KPI, performances, temps d'entrées et de sorties du conteneur… MGI affiche "sa volonté d'améliorer le processus de rapidité du passage portuaire de la marchandise".
En matière de formation, l'entreprise continue d'apporter sa contribution aux sociétés qui en font la demande, indique le responsable. Pour 2019, elle fournira des formations aux ports réalisant leurs migrations d'AP+ vers Ci5. Un programme est prévu pour les futurs utilisateurs du CCS en partenariat avec l'organisme de formation Aftral.
Il mentionne également un programme de recherche et développement au niveau européen. "Ce pipeline de l'information baptisé Selis vise à contrôler l'information qui arrive dans le CCS pour prévenir les dysfonctionnements", explique le membre du directoire. Autre dispositif, Interoperable corridor (Intercor). Cet outil, un système embarqué à bord des véhicules, a pour mission de capter les informations des transporteurs routiers en France, Belgique, Pays-Bas et Grande-Bretagne. MGI peaufine en outre son nouvel outil d'information Channel 5. Elle devrait signer cette année un nouveau contrat à l'international.
Dans le même objectif, MGI prévoit également d'organiser en 2019 une rencontre globale tous les trois mois avec la communauté portuaire, en présence des associations portuaires.
Cette année, l'entreprise informatique va rendre disponible sur smartphone l'application "Ci5 mobile". Elle permettra aux transporteurs routiers d'avoir à disposition la fonction "OCR" (un système de reconnaissance du numéro du conteneur). Cet outil, qui est complémentaire de la fonction tracking, déterminera la date de sortie du conteneur vide. L'application, disponible avant la fin du premier semestre, va permettre, selon Dominique Lebreton, d'afficher le temps prévisionnel du temps d'attente sur les terminaux et donnera également la possibilité de déclarer un incident sur le parcours.
À propos de la commande de transport papier auprès du transporteur routier, il souligne les avantages de la dématérialisation. Le transporteur routier Astouin joue le rôle de pilote.
"On développe avec les autres places portuaires qui vont migrer vers Ci5 le module vrac, le module groupage, le module dégroupage", souligne le responsable, indiquant que ce dernier module est fortement utilisé Outre-Mer.
"Migration dès 2019 pour d'autres places portuaires"
Autre preuve que l'activité sera soutenue en 2019 pour les équipes de MGI, l'entreprise marseillaise vise la migration d'AP+ vers Ci5 au premier semestre des ports de Dunkerque, lorsque les modules groupage et dégroupage seront opérationnels, Bordeaux, puis Toulon et Sète. Outre-Mer, la mise en production de Ci5 à Papeete est prévue le 27 mai et la migration à La Martinique avant la fin du premier semestre.
À Tahiti, les organismes vétérinaires et phytosanitaires entrent dans le système Ci5 le 27 mai, annonce Dominique Lebreton. Et d'ajouter : "On réfléchit en outre à un lien automatique entre Ci5 et le système Trace visant à suivre les marchandises ayant fait l'objet des contrôles vétérinaires et phytosanitaires".
Il indique que Ci5 doit évoluer de manière continue dans les mois à venir. Statistiques, KPI, performances, temps d'entrées et de sorties du conteneur… MGI affiche "sa volonté d'améliorer le processus de rapidité du passage portuaire de la marchandise".
En matière de formation, l'entreprise continue d'apporter sa contribution aux sociétés qui en font la demande, indique le responsable. Pour 2019, elle fournira des formations aux ports réalisant leurs migrations d'AP+ vers Ci5. Un programme est prévu pour les futurs utilisateurs du CCS en partenariat avec l'organisme de formation Aftral.
Il mentionne également un programme de recherche et développement au niveau européen. "Ce pipeline de l'information baptisé Selis vise à contrôler l'information qui arrive dans le CCS pour prévenir les dysfonctionnements", explique le membre du directoire. Autre dispositif, Interoperable corridor (Intercor). Cet outil, un système embarqué à bord des véhicules, a pour mission de capter les informations des transporteurs routiers en France, Belgique, Pays-Bas et Grande-Bretagne. MGI peaufine en outre son nouvel outil d'information Channel 5. Elle devrait signer cette année un nouveau contrat à l'international.