À l’arrêt depuis le 28 octobre, le transport maritime de céréales au départ des ports ukrainiens a redémarré alors que la Russie a repris sa participation à l’accord international sur les corridors humanitaires signé en juillet.
Six navires chargés de céréales ont quitté le 3 novembre les ports ukrainiens après la reprise du trafic conclue la veille, a annoncé le ministère turc de la Défense. Les vraquiers vont emprunter le couloir humanitaire sécurisé en mer Noire qui a déjà permis d'exporter 9,7 millions de tonnes de céréales et autres produits agricoles depuis l'Ukraine malgré le conflit, grâce à l'accord international signé en juillet sous l'égide de la Turquie et de l'ONU.
Selon le ministère turc de la Défense cité par l'agence officielle Anadolu, 426 navires céréaliers ont déjà suivi ce trajet sécurisé depuis le 1er août. La Russie a repris le 2 novembre sa participation à l'accord sur les exportations de céréales ukrainiennes, affirmant avoir reçu des "garanties écrites" de la part de l'Ukraine sur la démilitarisation du couloir maritime.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et ses ministres de la Défense et des Affaires étrangères, dont le pays est garant de l'accord céréalier – crucial pour l'approvisionnement alimentaire mondial, notamment en Afrique et au Moyen-Orient –, se sont employés à lever les objections russes auprès de leurs homologues.
Moscou avait suspendu sa participation à l'accord le 28 octobre après une frappe de drones sur des bâtiments de la flotte militaire russe dans la baie de Sebastopol, dans la région annexée de Crimée.
Selon le ministère turc de la Défense cité par l'agence officielle Anadolu, 426 navires céréaliers ont déjà suivi ce trajet sécurisé depuis le 1er août. La Russie a repris le 2 novembre sa participation à l'accord sur les exportations de céréales ukrainiennes, affirmant avoir reçu des "garanties écrites" de la part de l'Ukraine sur la démilitarisation du couloir maritime.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et ses ministres de la Défense et des Affaires étrangères, dont le pays est garant de l'accord céréalier – crucial pour l'approvisionnement alimentaire mondial, notamment en Afrique et au Moyen-Orient –, se sont employés à lever les objections russes auprès de leurs homologues.
Moscou avait suspendu sa participation à l'accord le 28 octobre après une frappe de drones sur des bâtiments de la flotte militaire russe dans la baie de Sebastopol, dans la région annexée de Crimée.