Pour la place portuaire marseillaise, les nouveaux Key Performances Indicators, ou KPI, sont devenus les outils d'un tableau de bord annuel permettant de mieux analyser les bons indicateurs de fluidité et de rectifier les éléments qui peuvent constituer des freins pour celle-ci.
Sur la place portuaire marseillaise, le temps moyen d'un navire en escale s'est élevé en 2021 à 24 heures et 36 minutes, soit 40 minutes de mieux qu'en 2020. Le nombre d'EVP moyen opéré par jour a atteint l'an dernier le chiffre de 4.115, contre 3.650 un an avant.
Quant au pourcentage du nombre d'EVP utilisant des modes de pré et post-acheminements massifiés, il s'est chiffré cette année-là à 20,90. Enfin, en matière de fluidité des marchandises, il a fallu 2,6 minutes pour dédouaner un conteneur…
Autant de données extraites des Key Performances Indicators (KPI), les nouveaux indicateurs de performance sur la fluidité du passage portuaire publiées par le Grand Port maritime de Marseille (GPMM) suite au pacte d'engagement de la communauté portuaire signé avant la pandémie. "Ce tableau de bord est issu d'une démarche partagée de place", renchérit Fabienne Margail, la cheffe du département solutions intermodales et passage portuaire du GPMM.
Le port épargné par la désorganisation mondiale
Selon Loïc Bezombes, le chef du service Performance du passage portuaire de l'établissement, cet outillage de précision, qui concerne le trafic conteneurisé dans les deux bassins, est le fruit du travail d'une trentaine de participants, de douze professions et de trois autorités (le GPMM, le Sivep et la Douane). "La méthodologie des KPI, qui remonte portant à 2013, a été révisée".
Quant au pourcentage du nombre d'EVP utilisant des modes de pré et post-acheminements massifiés, il s'est chiffré cette année-là à 20,90. Enfin, en matière de fluidité des marchandises, il a fallu 2,6 minutes pour dédouaner un conteneur…
Autant de données extraites des Key Performances Indicators (KPI), les nouveaux indicateurs de performance sur la fluidité du passage portuaire publiées par le Grand Port maritime de Marseille (GPMM) suite au pacte d'engagement de la communauté portuaire signé avant la pandémie. "Ce tableau de bord est issu d'une démarche partagée de place", renchérit Fabienne Margail, la cheffe du département solutions intermodales et passage portuaire du GPMM.
Le port épargné par la désorganisation mondiale
Selon Loïc Bezombes, le chef du service Performance du passage portuaire de l'établissement, cet outillage de précision, qui concerne le trafic conteneurisé dans les deux bassins, est le fruit du travail d'une trentaine de participants, de douze professions et de trois autorités (le GPMM, le Sivep et la Douane). "La méthodologie des KPI, qui remonte portant à 2013, a été révisée".