Après une expérimentation d'un peu moins d'un an, le Grand Port maritime de Dunkerque a adopté définitivement la répartition uniforme des Terminal Handle Charges (THC) du fret fluvial. Cette mesure de mutualisation de la charge a pour but de supprimer le surcoût de ce mode, considéré comme écologiquement vertueux comparé à la route.
Alain Vidalies, secrétaire d’État chargé des Transports, de la Mer, et de la Pêche, "salue le succès de l'accord, conclu à (son) initiative entre acteurs de la place portuaire de Dunkerque, qui va permettre de dynamiser la desserte de son hinterland par le mode fluvial, respectueux de l'environnement".
Le ministère rappelle qu'en France, les opérateurs fluviaux doivent supporter financièrement une partie de la manutention des conteneurs, alors que pour les autres modes utilisés pour assurer le pré et post-acheminement, ce coût est assumé par les compagnies maritimes. "Cette distorsion par rapport aux autres modes nuit fortement à la compétitivité globale du transport combiné fluvial", observe le ministre.
À l'initiative d'Alain Vidalies et après le lancement en 2014 de la Conférence pour le fret fluvial, Dunkerque a été le premier port français à expérimenter une répartition uniforme de ce surcoût sur l'ensemble des conteneurs en transit du terminal : "Cette surcharge n’est ainsi plus facturée aux seuls opérateurs fluviaux mais lissée auprès de l'ensemble des armateurs sur la base de l'intégralité de leurs trafics conteneurisés en entrée et sortie du terminal de Dunkerque". Ce système est appelé "mutualisation des THC".
Cet accord, pérennisé après onze mois d'expérimentation, avait été conclu entre les acteurs du transport combiné de la place portuaire : opérateur du terminal, armateurs, chargeurs et opérateurs multimodaux. Le ministère souligne le rôle moteur de Nord Ports Shuttle (NPS), Contargo North-France, CMA CGM et ses filiales TdF et Terminal Link dans sa signature.
Alain Vidalies, secrétaire d’État chargé des Transports, de la Mer, et de la Pêche, "salue le succès de l'accord, conclu à (son) initiative entre acteurs de la place portuaire de Dunkerque, qui va permettre de dynamiser la desserte de son hinterland par le mode fluvial, respectueux de l'environnement".
Le ministère rappelle qu'en France, les opérateurs fluviaux doivent supporter financièrement une partie de la manutention des conteneurs, alors que pour les autres modes utilisés pour assurer le pré et post-acheminement, ce coût est assumé par les compagnies maritimes. "Cette distorsion par rapport aux autres modes nuit fortement à la compétitivité globale du transport combiné fluvial", observe le ministre.
À l'initiative d'Alain Vidalies et après le lancement en 2014 de la Conférence pour le fret fluvial, Dunkerque a été le premier port français à expérimenter une répartition uniforme de ce surcoût sur l'ensemble des conteneurs en transit du terminal : "Cette surcharge n’est ainsi plus facturée aux seuls opérateurs fluviaux mais lissée auprès de l'ensemble des armateurs sur la base de l'intégralité de leurs trafics conteneurisés en entrée et sortie du terminal de Dunkerque". Ce système est appelé "mutualisation des THC".
Cet accord, pérennisé après onze mois d'expérimentation, avait été conclu entre les acteurs du transport combiné de la place portuaire : opérateur du terminal, armateurs, chargeurs et opérateurs multimodaux. Le ministère souligne le rôle moteur de Nord Ports Shuttle (NPS), Contargo North-France, CMA CGM et ses filiales TdF et Terminal Link dans sa signature.