En matière de ligne régulière, le Maghreb fait partie des deux segments qui composent la partie Ouest du marché intraméditerranéen. Ce "trade", qui s'articule autour de 95 ports, a généré en 2013, selon la dernière étude de Dynamar, un volume de 56 millions d'EVP.
L'arrivée du hub de Tanger-Med sur le marché de la ligne régulière a hissé le Maroc au tout premier rang des pays assurant les échanges Est-Ouest et Nord-Sud. Les opérateurs globaux n'ont pas tardé à s'y implanter pour s'en servir de plaque tournante. La plateforme tangéroise (2,6 millions d'EVP) est, depuis, desservie par des armateurs reliant l'Asie, le continent américain, l'Europe et l'Afrique subsaharienne. Il continue à faire face à son concurrent espagnol Algésiras.
Toujours au Maghreb, avec un trafic de 737.000 EVP (chiffres 2013), Alger est situé à la deuxième place derrière Tanger. Le port-capitale de l'Algérie, qui traite 34 escales par semaine, est celui qui bénéficie de la meilleure desserte dans le bassin méditerranéen.
Pour l'heure, il reste un port de marché et ne souffre donc pas de la concurrence du hub marocain. Dynamar, dans sa dernière étude portant sur le marché intraméditerranéen, prend en compte le port de Tanger mais exclut les ports de Casablanca et d'Agadir car n'étant pas situés sur la mer Méditerranée. Les auteurs du document estiment que les ports d'Afrique du Nord ne sont pas connectés à ceux de la mer Noire et considèrent que leurs relations avec l'Adriatique ne sont pas développées.
Toujours au Maghreb, avec un trafic de 737.000 EVP (chiffres 2013), Alger est situé à la deuxième place derrière Tanger. Le port-capitale de l'Algérie, qui traite 34 escales par semaine, est celui qui bénéficie de la meilleure desserte dans le bassin méditerranéen.
Pour l'heure, il reste un port de marché et ne souffre donc pas de la concurrence du hub marocain. Dynamar, dans sa dernière étude portant sur le marché intraméditerranéen, prend en compte le port de Tanger mais exclut les ports de Casablanca et d'Agadir car n'étant pas situés sur la mer Méditerranée. Les auteurs du document estiment que les ports d'Afrique du Nord ne sont pas connectés à ceux de la mer Noire et considèrent que leurs relations avec l'Adriatique ne sont pas développées.