Alors que le premier semestre s’était achevé sur une croissance de 2,7 %, après un trafic 2015 record, le bilan global du port de La Rochelle a subi l'impact de la très mauvaise campagne céréalière.
Avec un trafic portuaire qui s’établit à 9,23 millions tonnes, 2016 s'affiche en recul de 5,9 % pour le port de La Rochelle. En dehors du trafic des céréales qui a chuté de plus de 15 %, les autres filières ont poursuivi globalement leur croissance avec une augmentation moyenne de 1,6 %, détaille la direction du port.
"Les très mauvaises conditions météorologiques ont fait de la campagne céréalière 2016 la pire jamais observée depuis plusieurs dizaines d’années", ajoute-t-elle. Avec 3,76 millions tonnes, soit 40,8 %, le trafic des céréales est resté le premier trafic portuaire. Alors que les exportations de blé se sont montrées stables, celles du maïs et de l’orge ont plongé respectivement de 28 et 50 %.
Avec un trafic de 2,83 millions tonnes (- 0,9 %), les produits pétroliers, figurant au deuxième rang des filières du port rochelais en volume, ont affiché la stabilité. La direction du port rappelle qu'ils avaient enregistré une forte croissance en 2015.
Les produits forestiers et papetiers, avec une progression de 11 % et 850.000 tonnes, ont connu une évolution portée par la pâte à papier. Cette filière a en effet atteint 695.000 tonnes, soit près de 16 % de croissance et 95.000 tonnes supplémentaires par rapport à 2015. Grumes, sciages et placages ont maintenu pour leur part un niveau globalement équivalent à celui de l’année précédente.
Quant aux vracs agricoles, la situation de l'année écoulée s'est montrée en demi-teinte avec une baisse de 3,9 % pour 787.300 tonnes. Côté alimentation animale, une hausse de 6 % a été relevée. Côté engrais manufacturés, la direction du port a noté un repli de 8 %, "les intrants demeurant un facteur d’ajustement dans un contexte dépressif pour la filière agricole".
La filière sables témoigne d’une relance encore fragile du secteur du BTP, avec 3 % d’augmentation, à 591.817 tonnes.
"Les très mauvaises conditions météorologiques ont fait de la campagne céréalière 2016 la pire jamais observée depuis plusieurs dizaines d’années", ajoute-t-elle. Avec 3,76 millions tonnes, soit 40,8 %, le trafic des céréales est resté le premier trafic portuaire. Alors que les exportations de blé se sont montrées stables, celles du maïs et de l’orge ont plongé respectivement de 28 et 50 %.
Avec un trafic de 2,83 millions tonnes (- 0,9 %), les produits pétroliers, figurant au deuxième rang des filières du port rochelais en volume, ont affiché la stabilité. La direction du port rappelle qu'ils avaient enregistré une forte croissance en 2015.
Les produits forestiers et papetiers, avec une progression de 11 % et 850.000 tonnes, ont connu une évolution portée par la pâte à papier. Cette filière a en effet atteint 695.000 tonnes, soit près de 16 % de croissance et 95.000 tonnes supplémentaires par rapport à 2015. Grumes, sciages et placages ont maintenu pour leur part un niveau globalement équivalent à celui de l’année précédente.
Quant aux vracs agricoles, la situation de l'année écoulée s'est montrée en demi-teinte avec une baisse de 3,9 % pour 787.300 tonnes. Côté alimentation animale, une hausse de 6 % a été relevée. Côté engrais manufacturés, la direction du port a noté un repli de 8 %, "les intrants demeurant un facteur d’ajustement dans un contexte dépressif pour la filière agricole".
La filière sables témoigne d’une relance encore fragile du secteur du BTP, avec 3 % d’augmentation, à 591.817 tonnes.