L'opérateur portuaire allemand Hamburg Hafen und Logistik AG a enregistré au premier semestre un recul d'activité en raison de la faiblesse des échanges entre l'Extrême-Orient et l'Europe du Nord. Les filiales pré et post-acheminement du groupe ont conservé le vent en poupe.
Au premier semestre 2016, l'opérateur portuaire Hamburg Hafen und Logistik AG (HHLA) a connu sur ses terminaux une baisse de 5,7 % de son trafic global. Il a achevé les six premiers mois de l'année sur un volume global de 3,2 millions d'EVP au cours du premier semestre 2015.
La direction de l'opérateur estime que son trafic a subi le contrecoup de la baisse de 9 % des flux Extrême-Orient-Europe du Nord ancrée depuis le premier semestre 2015.
"Si l'on prend en considération la faible croissance du marché mondial et du trafic conteneurisé, et si l'on tient compte des déficits en matière d'infrastructures du port de Hambourg, les volumes de conteneurs traités sur nos terminaux restent en demi-teinte. Nous n'avons en effet pas été en mesure de retrouver les volumes que nous avions enregistrés au premier trimestre 2015", commente le président du directoire de l'opérateur portuaire, Klaus-Dieter Peters.
En revanche, il insiste sur la poursuite de la "success story" du groupe dans le secteur intermodal. En effet, si la conjoncture n'est toujours pas favorable au trafic conteneurisé en matière de manutention, le groupe a assuré l'acheminement terrestre de 694.000 EVP. Une activité qui se place en croissance de 6,2 % sur un an.
Chiffre d'affaires en repli de 2 %
À 573,5 millions d'euros contre 585,1 millions d'euros en 2015, le chiffre d'affaires du groupe a marqué un repli de 2 % au cours du premier semestre. Son Ebidta (excédent brut d'exploitation) a reculé de 12 %, à 125,8 millions d'euros. Quant à l'Ebit (résultat d'exploitation), il est passé en un an de 82,6 millions d'euros à 66,9 millions d'euros, chutant de 19 %.
En baisse de 4,4 %, le recul du chiffre d'affaires dans le secteur de la manutention du conteneur s'est avéré moins sévère, relève le groupe. Pour ce secteur, il s'est élevé à 337 millions d'euros.
La direction de l'opérateur estime que son trafic a subi le contrecoup de la baisse de 9 % des flux Extrême-Orient-Europe du Nord ancrée depuis le premier semestre 2015.
"Si l'on prend en considération la faible croissance du marché mondial et du trafic conteneurisé, et si l'on tient compte des déficits en matière d'infrastructures du port de Hambourg, les volumes de conteneurs traités sur nos terminaux restent en demi-teinte. Nous n'avons en effet pas été en mesure de retrouver les volumes que nous avions enregistrés au premier trimestre 2015", commente le président du directoire de l'opérateur portuaire, Klaus-Dieter Peters.
En revanche, il insiste sur la poursuite de la "success story" du groupe dans le secteur intermodal. En effet, si la conjoncture n'est toujours pas favorable au trafic conteneurisé en matière de manutention, le groupe a assuré l'acheminement terrestre de 694.000 EVP. Une activité qui se place en croissance de 6,2 % sur un an.
Chiffre d'affaires en repli de 2 %
À 573,5 millions d'euros contre 585,1 millions d'euros en 2015, le chiffre d'affaires du groupe a marqué un repli de 2 % au cours du premier semestre. Son Ebidta (excédent brut d'exploitation) a reculé de 12 %, à 125,8 millions d'euros. Quant à l'Ebit (résultat d'exploitation), il est passé en un an de 82,6 millions d'euros à 66,9 millions d'euros, chutant de 19 %.
En baisse de 4,4 %, le recul du chiffre d'affaires dans le secteur de la manutention du conteneur s'est avéré moins sévère, relève le groupe. Pour ce secteur, il s'est élevé à 337 millions d'euros.