Avec un trafic de 9,05 Mt en 2013 contre 8,2 Mt en 2012, le Grand Port maritime de Bordeaux (GPMB) a terminé l'année 2013 sur une hausse de 10,5 %. Une progression due aussi bien à l'export qui a progressé de 20,9 % qu'à l'import. Certaines filières ont enregistré un bond.
Pour le Grand Port maritime de Bordeaux, à 4,5 millions de tonnes, les granulats et la ferraille sont les deux filières qui ont enregistré les deux plus fortes hausses en 2013. Mais les hydrocarbures, avec une progression plus modeste, conservent la première place puisqu'ils sont passés de 4,3 Mt en 2013 à 4,5 Mt. Selon Étienne Naudé, directeur de la stratégie et du développement de l'établissement, la tendance baissière que connaissent aujourd'hui les ports européens dans le secteur du raffinage remonte déjà à de nombreuses années dans le port girondin. Le GPMB a assisté à une stagnation de ses importations de produits raffinés. Un phénomène dû à la baisse de la consommation du carburant de la part des particuliers mais également à une hausse de la demande de la part des industries locales.
À l'instar d'autres ports français spécialistes des céréales, le port de Bordeaux a assisté en 2013 à une hausse de 30 % dans cette filière qui a achevé l'année sur un trafic de 1,3 Mt, soit 280.000 tonnes en plus. Étienne Naudé attribue cette forte progression "aux bonnes récoltes réalisées cette année en France". Et d'expliquer : "Nous exportons majoritairement du maïs et du blé vers les marchés de l'Europe du Nord et du Maghreb et nous avons trouvé avec le Japon et la Corée du Sud deux nouveaux clients qui importent du maïs non-OGM".
Trafic lié aux céréales, les graines oléagineuses, à 550.000 tonnes, ont augmenté de 23 % par rapport à 2012. Cette filière (des flux à l'import pour les deux tiers) est composée d'huiles de tournesol et de colza ainsi que de tourteaux destinés à l'alimentation animale.
Quant aux granulats, un secteur qui regroupe à la fois le sable de l'estuaire de la Gironde mais également le gravier et le ballast destiné pour l'essentiel à l'Écosse et à la Norvège, ils ont terminé 2013 sur un trafic de 850.000 tonnes, soit une hausse de 75 %. Étienne Naudé estime que "cette filière doit son dynamisme au BTP".
À l'instar d'autres ports français spécialistes des céréales, le port de Bordeaux a assisté en 2013 à une hausse de 30 % dans cette filière qui a achevé l'année sur un trafic de 1,3 Mt, soit 280.000 tonnes en plus. Étienne Naudé attribue cette forte progression "aux bonnes récoltes réalisées cette année en France". Et d'expliquer : "Nous exportons majoritairement du maïs et du blé vers les marchés de l'Europe du Nord et du Maghreb et nous avons trouvé avec le Japon et la Corée du Sud deux nouveaux clients qui importent du maïs non-OGM".
Trafic lié aux céréales, les graines oléagineuses, à 550.000 tonnes, ont augmenté de 23 % par rapport à 2012. Cette filière (des flux à l'import pour les deux tiers) est composée d'huiles de tournesol et de colza ainsi que de tourteaux destinés à l'alimentation animale.
Quant aux granulats, un secteur qui regroupe à la fois le sable de l'estuaire de la Gironde mais également le gravier et le ballast destiné pour l'essentiel à l'Écosse et à la Norvège, ils ont terminé 2013 sur un trafic de 850.000 tonnes, soit une hausse de 75 %. Étienne Naudé estime que "cette filière doit son dynamisme au BTP".