Passer de 4 à 8 % en 2025 la part des conteneurs transportés par voie ferrée et étendre ainsi son hinterland au-delà de l’Île-de-France, telle est l’ambition affichée par Haropa Port.
Certes, la conviction est bien là : le fret ferroviaire représente "un enjeu de compétitivité avec de plus en plus de solutions massifiées et fiables pour l’acheminement des marchandises", souligne Antoine Berbain.
En juin dernier, le directeur général délégué d’Haropa Port Paris, en charge de la multimodalité à l’échelle de l’axe Seine, rappelait l’ambition des ports du groupement : "Passer de 4 % à 8 % dès 2025 la part des conteneurs transportés par voie ferrée et étendre ainsi notre hinterland au-delà de l’Île-de-France, sur l’ensemble du territoire national et plus loin encore vers l’Europe. C’est un élément-clé de notre plan stratégique".
Plus de 70 allers-retours hebdomadaires sont assurés vers une quinzaine de destinations, par Naviland Cargo, Ferovergne, Delta Rail, depuis Le Havre, et T3M et Hupac depuis Bonneuil (Val-d'Oise).
Haropa Port n’a pas laissé passer le plaisir d’annoncer quelques bonnes nouvelles en 2022 : "Les initiatives se multiplient autour du transport ferroviaire. Des services existants ont été renforcés et de nouvelles offres créées".
Hausse de l'offre sur l'axe rhodanien
Ainsi, l’opérateur Delta Rail avait lancé en avril 2021 un train de 750 mètres d’une capacité de 108 EVP (54 wagons) entre le port du Havre et Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Depuis mai dernier, il renforce son service de transport combiné d’une deuxième rotation hebdomadaire sur le terminal multimodal du Havre, les mardis et jeudis.
Par ailleurs, Naviland Cargo a lancé deux rotations supplémentaires entre Le Havre et Lyon-Vénissieux, passant ainsi de cinq à sept allers retours par semaine entre le port normand et la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Autre bonne nouvelle, un nouveau train sur la plateforme trimodale modernisée de Bruyères-sur-Oise (Val-d’Oise), située à 40 kilomètres de Paris.
En juin dernier, le directeur général délégué d’Haropa Port Paris, en charge de la multimodalité à l’échelle de l’axe Seine, rappelait l’ambition des ports du groupement : "Passer de 4 % à 8 % dès 2025 la part des conteneurs transportés par voie ferrée et étendre ainsi notre hinterland au-delà de l’Île-de-France, sur l’ensemble du territoire national et plus loin encore vers l’Europe. C’est un élément-clé de notre plan stratégique".
Plus de 70 allers-retours hebdomadaires sont assurés vers une quinzaine de destinations, par Naviland Cargo, Ferovergne, Delta Rail, depuis Le Havre, et T3M et Hupac depuis Bonneuil (Val-d'Oise).
Haropa Port n’a pas laissé passer le plaisir d’annoncer quelques bonnes nouvelles en 2022 : "Les initiatives se multiplient autour du transport ferroviaire. Des services existants ont été renforcés et de nouvelles offres créées".
Hausse de l'offre sur l'axe rhodanien
Ainsi, l’opérateur Delta Rail avait lancé en avril 2021 un train de 750 mètres d’une capacité de 108 EVP (54 wagons) entre le port du Havre et Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Depuis mai dernier, il renforce son service de transport combiné d’une deuxième rotation hebdomadaire sur le terminal multimodal du Havre, les mardis et jeudis.
Par ailleurs, Naviland Cargo a lancé deux rotations supplémentaires entre Le Havre et Lyon-Vénissieux, passant ainsi de cinq à sept allers retours par semaine entre le port normand et la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Autre bonne nouvelle, un nouveau train sur la plateforme trimodale modernisée de Bruyères-sur-Oise (Val-d’Oise), située à 40 kilomètres de Paris.