Pour le Grand Port maritime de la Martinique, le premier trimestre de l'année a été marqué par une reprise des marchandises diverses et par un bond du trafic passagers. Les vracs liquides et solides ont toutefois enregistré un recul par rapport à 2017.
À Fort-de-France, le Grand Port maritime de la Martinique a connu un premier trimestre contrasté. Si les vracs ont chuté, les marchandises diverses ont progressé.
À 39.373 EVP, le trafic conteneurisé a progressé de 14 %. Une croissance portée par un bond du transbordement qui a atteint pas moins de 248 %. Le nombre d'EVP transitant par le port martiniquais est passé en un an de 2.735 à 9.520 EVP.
Pour Jean-Rémy Villageois, la progression du conteneur doit être relativisée dans la mesure où "2016 avait été atone". Selon lui, "depuis 2017, on tournait à mi-régime. Il s'agit de la reprise entamée l'an dernier".
D'après lui, le trafic de transbordement est surtout imputable à CMA CGM et, dans une moindre mesure, à Marfret. Le président du directoire du Grand Port maritime se dit convaincu que l'élargissement du canal de Panama n'a pas encore d'impact.
À 39.373 EVP, le trafic conteneurisé a progressé de 14 %. Une croissance portée par un bond du transbordement qui a atteint pas moins de 248 %. Le nombre d'EVP transitant par le port martiniquais est passé en un an de 2.735 à 9.520 EVP.
Pour Jean-Rémy Villageois, la progression du conteneur doit être relativisée dans la mesure où "2016 avait été atone". Selon lui, "depuis 2017, on tournait à mi-régime. Il s'agit de la reprise entamée l'an dernier".
D'après lui, le trafic de transbordement est surtout imputable à CMA CGM et, dans une moindre mesure, à Marfret. Le président du directoire du Grand Port maritime se dit convaincu que l'élargissement du canal de Panama n'a pas encore d'impact.