Pour Zim, l'année 2020 s'est soldée sur un résultat d'exploitation franchissant de peu le milliard de dollars. Un exercice qui l'a encouragé à faire son entrée à la bourse de New York quelques mois après avoir lancé un appel public à l'épargne.
Au quatrième trimestre 2020, Zim Integrated shipping Services (Zim) a enregistré un résultat brut d'exploitation de 336,4 millions de dollars, contre 500 M USD fin 2019. Après avoir vécu les trois derniers mois de 2020 sur une même tendance favorable que le précédent trimestre, l'opérateur israélien a clôturé l'année au 31 décembre sur un résultat brut d'exploitation (Ebitda) d'un milliard de dollars (1,04 md). Un montant qui atteste d'une hausse de 168 % par rapport à 2019.
Quant au chiffre d'affaires du groupe, il a progressé au dernier trimestre de pas moins de 64 % pour atteindre 1,36 md USD. Une forte amélioration qui a contribué à lui faire atteindre pour 2020 3,99 md USD, après avoir enregistré une hausse annuelle de 21 %.
Croissance à deux chiffres pour le taux de fret moyen
À l'instar de nombre de ses confrères et concurrents mondiaux l'an dernier, ses résultats n'ont pas pu bénéficier d'une hausse de trafic puisque le nombre d'EVP transportés a augmenté de seulement 1 % par rapport à 2019 pour s'établir à 2.841. Le dixième opérateur mondial de la ligne régulière (avec une capacité de 409.600 EVP) a vu ses résultats s'améliorer grâce à la forte progression de 22 % du taux de fret moyen sur le marché au cours de la période. Il l'a évalué en 2020 à 1.229 USD pour un EVP, toutes destinations confondues.
Pour ce qui est de la flotte, la compagnie israélienne vient de montrer à son tour son intérêt pour les carburants écologiques. Elle a signé avec la compagnie Seaspan un contrat d'affrètement à long terme portant sur dix navires propulsés au GNL. L'opérateur entend ainsi "prouver son engagement à réduire son empreinte carbone et à adopter des pratiques respectueuses de l’environnement".
À Haïfa, siège de la compagnie, son président Eli Glickman s'est félicité que la société ait pu atteindre en 2020, au cours d'une année de pandémie, "le revenu le plus élevé de ses soixante-quinze ans d'histoire". Il a ajouté : "Nous avons achevé l'année en beauté et nous restons fidèles à notre objectif de demeurer l'un des trois premiers transporteurs maritimes en termes de marge de résultat opérationnel"
Démarrage au New York Stock Exchange
Eli Glickman a ajouté : "On a commencé l'année 2021 en devenant le premier armateur mondial à démarrer au New York Stock Exchange (NYSE). Nous avons en outre affrété à long terme dix porte-conteneurs de 15.000 EVP propulsés au fuel-GNL". La compagnie mise sur cette formule inspirée par la transition énergétique pour lui permettre de "satisfaire la demande du marché Asie-Amérique du Nord-Côte Est".
Quant au chiffre d'affaires du groupe, il a progressé au dernier trimestre de pas moins de 64 % pour atteindre 1,36 md USD. Une forte amélioration qui a contribué à lui faire atteindre pour 2020 3,99 md USD, après avoir enregistré une hausse annuelle de 21 %.
Croissance à deux chiffres pour le taux de fret moyen
À l'instar de nombre de ses confrères et concurrents mondiaux l'an dernier, ses résultats n'ont pas pu bénéficier d'une hausse de trafic puisque le nombre d'EVP transportés a augmenté de seulement 1 % par rapport à 2019 pour s'établir à 2.841. Le dixième opérateur mondial de la ligne régulière (avec une capacité de 409.600 EVP) a vu ses résultats s'améliorer grâce à la forte progression de 22 % du taux de fret moyen sur le marché au cours de la période. Il l'a évalué en 2020 à 1.229 USD pour un EVP, toutes destinations confondues.
Pour ce qui est de la flotte, la compagnie israélienne vient de montrer à son tour son intérêt pour les carburants écologiques. Elle a signé avec la compagnie Seaspan un contrat d'affrètement à long terme portant sur dix navires propulsés au GNL. L'opérateur entend ainsi "prouver son engagement à réduire son empreinte carbone et à adopter des pratiques respectueuses de l’environnement".
À Haïfa, siège de la compagnie, son président Eli Glickman s'est félicité que la société ait pu atteindre en 2020, au cours d'une année de pandémie, "le revenu le plus élevé de ses soixante-quinze ans d'histoire". Il a ajouté : "Nous avons achevé l'année en beauté et nous restons fidèles à notre objectif de demeurer l'un des trois premiers transporteurs maritimes en termes de marge de résultat opérationnel"
Démarrage au New York Stock Exchange
Eli Glickman a ajouté : "On a commencé l'année 2021 en devenant le premier armateur mondial à démarrer au New York Stock Exchange (NYSE). Nous avons en outre affrété à long terme dix porte-conteneurs de 15.000 EVP propulsés au fuel-GNL". La compagnie mise sur cette formule inspirée par la transition énergétique pour lui permettre de "satisfaire la demande du marché Asie-Amérique du Nord-Côte Est".