Fincantieri, seul candidat à la reprise du chantier naval de Saint-Nazaire, a signé un accord pour la construction en Chine de deux navires de croisière pour le marché local, un contrat de 1,5 milliard de dollars.
Le groupe italien et son partenaire local, China State Shipbuilding Corporation, ont signé mercredi 22 février un accord contraignant avec Carnival Corporation pour construire deux navires de croisière, avec une option pour quatre navires supplémentaires, "les premières unités de ce type jamais construites en Chine pour le marché chinois", a souligné le groupe italien. L'accord a été signé à Pékin en présence des présidents italien, Sergio Mattarella, et chinois, Xi Jinping, à l'occasion du quatrième forum commercial Italie-Chine.
Un montant de 1,5 milliard de dollars
"L'accord, soumis à différentes conditions, représente un montant de 1,5 milliard de dollars pour les deux premiers navires et actualise les termes de l'accord annoncé le 23 septembre visant à développer et soutenir la croissance de l'industrie chinoise de la croisière", a précisé Fincantieri. Le groupe italien et China State Shipbuilding avaient signé le 23 septembre un accord non contraignant avec Carnival pour la construction de deux premiers navires de croisière, avec une option pour deux navires supplémentaires.
Les paquebots, dont le premier doit être livré en 2023, seront adaptés aux goûts des voyageurs chinois. "L'accord d'aujourd'hui représente un exemple de partenariat industriel, qui non seulement réaffirme notre leadership dans l'industrie de la croisière, mais crée également un système vertueux entre les deux pays", a affirmé le PDG de Fincantieri, Giuseppe Bono, en soulignant qu'il n'est "pas possible de rester compétitif à moyen et long terme sans" s'ouvrir ainsi.
À la Bourse de Milan, suite à cette annonce, le titre Fincantieri a gagné 4,57 % à 0,6175 euro. Depuis le début de l'année, il a pris 30 % et en un an 81 %. Fincantieri est le seul candidat à avoir déposé une offre pour reprendre STX France, la filiale florissante du groupe sud-coréen STX Offshore and Shipbuilding, qui accumule pour sa part des difficultés financières.
Un montant de 1,5 milliard de dollars
"L'accord, soumis à différentes conditions, représente un montant de 1,5 milliard de dollars pour les deux premiers navires et actualise les termes de l'accord annoncé le 23 septembre visant à développer et soutenir la croissance de l'industrie chinoise de la croisière", a précisé Fincantieri. Le groupe italien et China State Shipbuilding avaient signé le 23 septembre un accord non contraignant avec Carnival pour la construction de deux premiers navires de croisière, avec une option pour deux navires supplémentaires.
Les paquebots, dont le premier doit être livré en 2023, seront adaptés aux goûts des voyageurs chinois. "L'accord d'aujourd'hui représente un exemple de partenariat industriel, qui non seulement réaffirme notre leadership dans l'industrie de la croisière, mais crée également un système vertueux entre les deux pays", a affirmé le PDG de Fincantieri, Giuseppe Bono, en soulignant qu'il n'est "pas possible de rester compétitif à moyen et long terme sans" s'ouvrir ainsi.
À la Bourse de Milan, suite à cette annonce, le titre Fincantieri a gagné 4,57 % à 0,6175 euro. Depuis le début de l'année, il a pris 30 % et en un an 81 %. Fincantieri est le seul candidat à avoir déposé une offre pour reprendre STX France, la filiale florissante du groupe sud-coréen STX Offshore and Shipbuilding, qui accumule pour sa part des difficultés financières.