Avec une augmentation de 3 % du trafic, le Grand Port maritime de Dunkerque franchit la barre des 50 Mt pour atteindre 50,4 Mt. L’ensemble portuaire Dunkerque, Boulogne et Calais devient le premier cluster portuaire français avec plus de 100 Mt.
L’union a fait la force dans les Hauts-de-France. L’ensemble portuaire regroupant Dunkerque, Boulogne et Calais se place désormais en première place des ensembles portuaires français. "Nous avons tous compris que travailler ensemble était devenu important", a commencé par déclarer Stéphane Raison, président du directoire du GPM de Dunkerque. Un cluster portuaire boosté par la belle performance du port de Dunkerque qui voit ses trafics progresser de 3 % à 50,4 Mt.
C’est au chapitre des vracs que le port septentrional a surtout vu ses volumes croître. Ainsi, les vracs liquides sont en hausse de 3 % à 3,4 Mt. Les effets de la fermeture de la raffinerie des Flandres et de SRD semblent être rangés dans les archives du port. La mise en service du terminal méthanier au cours de l’année a porté cette croissance. Avec 866.000 tonnes, le terminal méthanier a démarré comme prévu. Au total, GNL et gaz industriel ont vu leur trafic augmenter de 230 % à 1,3 Mt.
"Nous devenons un hub gazier"
Quant aux autres vracs liquides, ils accusent un repli de 26 % à 0,4 Mt. "Nous ne sommes plus un port pétrolier", a indiqué Stéphane Raison, qui se targue de diriger le premier port français hors trafic pétrolier. Et si le terminal méthanier de Dunkerque a été conçu pour les importations de GNL depuis le site de production de Yamal en Russie, il voit son rôle se modifier compte tenu du marché. "Dès la fin du mois, nous allons recevoir un navire qui fera du déchargement. Des produits qui seront ensuite rechargés pour d’autres destinations. Nous devenons un hub gazier".
Quant aux vracs solides, si la campagne céréalière a fortement impacté ce secteur de trafic, globalement ils sont en progression de 11 % à 24,5 Mt. Les pondéreux ont porté ce courant. Parmi les raisons de ce nouveau dynamisme des vracs l’activité à pleine puissance de l’usine d’ArcelorMittal. En 2015, le haut-fourneau 2 et en 2016 le haut-fourneau 4 ont été arrêtés pour maintenance. Une partie des minerais déchargés sur le quai à Pondéreux Ouest est repartie pour le port de Brême. Le charbon a aussi été à la fête avec une hausse de 11 % à 6 Mt.
C’est au chapitre des vracs que le port septentrional a surtout vu ses volumes croître. Ainsi, les vracs liquides sont en hausse de 3 % à 3,4 Mt. Les effets de la fermeture de la raffinerie des Flandres et de SRD semblent être rangés dans les archives du port. La mise en service du terminal méthanier au cours de l’année a porté cette croissance. Avec 866.000 tonnes, le terminal méthanier a démarré comme prévu. Au total, GNL et gaz industriel ont vu leur trafic augmenter de 230 % à 1,3 Mt.
"Nous devenons un hub gazier"
Quant aux autres vracs liquides, ils accusent un repli de 26 % à 0,4 Mt. "Nous ne sommes plus un port pétrolier", a indiqué Stéphane Raison, qui se targue de diriger le premier port français hors trafic pétrolier. Et si le terminal méthanier de Dunkerque a été conçu pour les importations de GNL depuis le site de production de Yamal en Russie, il voit son rôle se modifier compte tenu du marché. "Dès la fin du mois, nous allons recevoir un navire qui fera du déchargement. Des produits qui seront ensuite rechargés pour d’autres destinations. Nous devenons un hub gazier".
Quant aux vracs solides, si la campagne céréalière a fortement impacté ce secteur de trafic, globalement ils sont en progression de 11 % à 24,5 Mt. Les pondéreux ont porté ce courant. Parmi les raisons de ce nouveau dynamisme des vracs l’activité à pleine puissance de l’usine d’ArcelorMittal. En 2015, le haut-fourneau 2 et en 2016 le haut-fourneau 4 ont été arrêtés pour maintenance. Une partie des minerais déchargés sur le quai à Pondéreux Ouest est repartie pour le port de Brême. Le charbon a aussi été à la fête avec une hausse de 11 % à 6 Mt.