Le pétrolier grec "Bouboulina", "principal suspect", selon Rio, de la gigantesque marée noire au large du Brésil, s'est dit prêt jeudi 7 novembre à fournir les documents réclamés par les autorités brésiliennes sur les détails de sa navigation fin juillet au large du Brésil.
Selon Delta tankers, propriétaire du "Bouboulina", une lettre des autorités brésiliennes envoyée au ministère grec de la Marine marchande, a réclamé à quatre sociétés maritimes grecques, dont Delta Tankers, de fournir des documents pour contribuer aux recherches effectuées à Rio sur cette énorme marée noire.
Les autres sociétés grecques concernées, propriétaires également des pétroliers qui naviguaient pendant cette période au large du Brésil, sont la Marani - gérante des pétroliers "Maran Apollo" et "Maran Libra" -, l'Euromav - propriétaire du "Cap Pembroke" - et la Minerva - propriétaire du "Minerva Alexandra".
Ces sociétés figurent dans un extrait de la lettre en anglais des autorités brésiliennes adressée au ministère grec et publié par Delta Tankers.
La date butoir pour envoyer les documents au ministère grec avant que celui-ci les renvoie à Rio est le 13 novembre, selon une source proche du dossier.
"Le pétrole a commencé à apparaître sur les côtes brésiliennes le 30 août"
Alors que l'origine de la pollution aux hydrocarbures, qui se serait produite fin juillet et a souillé plus de 2000 km de côtes du Nord-Est du pays restait mystérieuse depuis des semaines, les autorités brésiliennes ont affirmé le 1er novembre avoir identifié grâce à des données satellitaires le "Bouboulina" comme "principal suspect" de cette pollution.
Mais Delta Tankers a nié "toute responsabilité" dans cette catastrophe environnementale.
Il a estimé qu'il n'y avait de "preuve" de fuite sur le pétrolier, qui avait appareillé le 19 juillet du Venezuela avant d'arriver "directement" à sa destination, le port malaisien de Melaka, le 4 septembre.
Une enquête "complète" effectuée par Delta tankers "du matériel provenant des caméras et des données d'enregistrements" montre qu'il n'y a "aucune preuve de fuite, de transfert de navire à navire (STS), de déversement, de perte (de la cargaison) ou de retard du 'Bouboulina'", a indiqué samedi 2 novembre Delta Tankers.
C'est le 30 août que le pétrole a commencé à apparaître sur les côtes brésiliennes, progressant ensuite vers le sud, jusque dans l'État de Bahia.
Les autorités brésiliennes, en examinant les images satellitaires, ont identifié le 29 juillet l'origine du déversement de pétrole, à plus de 700 km des côtes de l'État nordestin de Paraiba. Malgré des recherches, Rio ignore toujours si l'origine de cette marée noire "à caractère inédit" est accidentelle ou criminelle.
Les autres sociétés grecques concernées, propriétaires également des pétroliers qui naviguaient pendant cette période au large du Brésil, sont la Marani - gérante des pétroliers "Maran Apollo" et "Maran Libra" -, l'Euromav - propriétaire du "Cap Pembroke" - et la Minerva - propriétaire du "Minerva Alexandra".
Ces sociétés figurent dans un extrait de la lettre en anglais des autorités brésiliennes adressée au ministère grec et publié par Delta Tankers.
La date butoir pour envoyer les documents au ministère grec avant que celui-ci les renvoie à Rio est le 13 novembre, selon une source proche du dossier.
"Le pétrole a commencé à apparaître sur les côtes brésiliennes le 30 août"
Alors que l'origine de la pollution aux hydrocarbures, qui se serait produite fin juillet et a souillé plus de 2000 km de côtes du Nord-Est du pays restait mystérieuse depuis des semaines, les autorités brésiliennes ont affirmé le 1er novembre avoir identifié grâce à des données satellitaires le "Bouboulina" comme "principal suspect" de cette pollution.
Mais Delta Tankers a nié "toute responsabilité" dans cette catastrophe environnementale.
Il a estimé qu'il n'y avait de "preuve" de fuite sur le pétrolier, qui avait appareillé le 19 juillet du Venezuela avant d'arriver "directement" à sa destination, le port malaisien de Melaka, le 4 septembre.
Une enquête "complète" effectuée par Delta tankers "du matériel provenant des caméras et des données d'enregistrements" montre qu'il n'y a "aucune preuve de fuite, de transfert de navire à navire (STS), de déversement, de perte (de la cargaison) ou de retard du 'Bouboulina'", a indiqué samedi 2 novembre Delta Tankers.
C'est le 30 août que le pétrole a commencé à apparaître sur les côtes brésiliennes, progressant ensuite vers le sud, jusque dans l'État de Bahia.
Les autorités brésiliennes, en examinant les images satellitaires, ont identifié le 29 juillet l'origine du déversement de pétrole, à plus de 700 km des côtes de l'État nordestin de Paraiba. Malgré des recherches, Rio ignore toujours si l'origine de cette marée noire "à caractère inédit" est accidentelle ou criminelle.