Pour non-conformité à la législation en vigueur (les sociétés détentrices d’un agrément de transport maritime doivent être détenues au minimum à 50 % par des intérêts tunisiens), la filiale tunisienne de Maersk est dans le collimateur du ministre des Transports, Redhouane Ayara. Le Danois a jusqu’alors bénéficié de la clémence des gouvernements successifs. De là à espérer que le frondeur fasse les frais du remaniement ministériel qui s’annonce…
Rumeur
Maersk menacé
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