Le port scaldien fait régulièrement l’objet de menaces de la part des pilotes de rivière. Sans réponses à leurs demandes de primes et aux accords signés, ils refuseront de prendre en charge les porte-conteneurs de plus de 350 m. Les pilotes de rivière rejettent la polyvalence, considérant qu’il s’agit d’une spécialisation et d’une question de sécurité. En d’autres termes, pas question de partager les primes, alors que ces spécialistes empochent déjà entre 6 500 € et 7 500 € par mois. Le ministre de tutelle a jusqu’au 17 mars pour faire machine arrière.
Anvers
Le port confronté aux menaces des pilotes
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