Emmanuelle Bicat : Oui. C’est d’ailleurs pour cela que nous n’hésitons pas à valoriser la part de la cotisation financée par l’entreprise, qui est de 60 %. C’est une façon de se démarquer. Et nous n’écartons pas d’aller au-delà car cela peut être un réel levier notamment pour valoriser les rémunérations dans cette période inflationniste. De plus, depuis 2022, nous faisons en sorte d’avoir une couverture attractive avec possibilité d’options.
E. B. : Oui, nous faisons état de cet avantage lors des entretiens et le mentionnons dans les offres d’emploi. Par ailleurs, lorsque nous avons changé de mutuelle en janvier 2022, nous avons fait une présentation du nouveau contrat comparé avec l’ancien régime en valorisant les avantages pour les salariés (taux de remboursement…).
E. B. : Nous avions de grosses difficultés d’échange et de communication avec l’ancien assureur et un manque de réactivité et de fluidité. Les salariés avaient quant à eux des difficultés à se faire rembourser. Avant de changer de contrat, j’avais réalisé un sondage auprès des salariés pour identifier les attentes et satisfaire le plus grand nombre. Parmi les nouveaux besoins : les médecines douces. Nous avons fait le choix d’opter pour deux niveaux d’options facultatives selon la composition familiale… Chaque mois, la part patronale s’élève à 33,43 euros pour une personne isolée et 82,92 euros par salarié pour le contrat famille. Et ce quel que soit le nombre d’enfants.