« Ces mouvements sociaux, qui s’inscrivent dans la continuité de nombreuses grèves ces derniers mois, suscitent une exaspération légitime dans un contexte économique déjà extrêmement tendu pour les entreprises du transport routier de marchandises », indique le communiqué du syndicat patronal FNTR. Cette « exaspération » fait suite à l’annonce de mouvements de grèves de dockers les 30 et 31 janvier puis dans le courant du mois de février.
La FNTR pointe des perturbations qui « nuisent gravement à l’ensemble de l’économie », « affectent la fluidité des échanges et fragilisent les entreprises locales, nationales et européennes ».
« La FNTR en appelle à la responsabilité de toutes les parties prenantes et demande une médiation rapide pour limiter l’impact de ces mouvements sociaux et garantir la continuité des activités économiques. De plus, elle a alerté le cabinet du ministre chargé des Transports afin que des dispositions soient prises dans les meilleurs délais », indique le communiqué de la FNTR.