Le cuivre, comme la plupart des métaux industriels, baissait cette semaine, lesté par l'annonce de sanctions américaines contre des entreprises chinoises. "L'humeur positive des investisseurs, qui a causé les pertes de l'or cette semaine, ne s'est pas étendue au monde des métaux industriels", a relevé Daniel Briesemann, analyste pour Commerzbank. "Cela s'explique par l'annonce des sanctions imposées par l'administration américaine sur des entreprises chinoises qui sont accusées d'avoir mené des affaires avec l'Iran dans le secteur pétrolier", a-t-il continué. Le conflit commercial qui oppose la Chine aux États-Unis depuis plusieurs mois fait craindre un ralentissement de la croissance mondiale qui affaiblirait le secteur de l'industrie, ce qui ferait baisser la demande en métaux industriels, dont le cuivre. Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s'échangeait à 5.752 USD vendredi 27 septembre, contre 5.793 USD le vendredi précédent.
L'or a quant à lui connu une semaine en dents de scie, démarrée en hausse avant de faire brusquement marche arrière. "Le prix de l'or est tombé d'un plus haut en trois semaines avec l'annonce d'un nouvel accord entre les États-Unis et le Japon et après que le président américain Donald Trump eut déclaré qu'un accord avec la Chine pourrait être conclu plus tôt que prévu", selon Carlo Alberto de Casa, analyste chez ActivTrades. Sur le London Bullion Market, l'once d'or valait 1.495 USD vendredi contre 1.504 USD la semaine précédente.
Enfin, le sucre a grimpé cette semaine, porté par la possibilité d'une hausse future de la demande en bioéthanol aux États-Unis et par une baisse de la production au Brésil. Les prix du sucre sont "soutenus par l'idée que les États-Unis tentent d'augmenter la consommation de bioéthanol, ainsi que par des interrogations sur la production", a résumé Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group. Le Brésil étant avec l'Inde l'un des deux plus gros producteurs de sucre, toute baisse de production dans ses vastes plantations de canne à sucre risque d'en affecter le cours. Sur le Liffe de Londres, la tonne de sucre blanc pour livraison en décembre valait 340,90 dollars, contre 324,60 dollars le vendredi précédent. Sur l'ICE Futures US de New York, la livre de sucre brut pour livraison en mars 2020 valait 12,64 cents, contre 12,06 cents sept jours auparavant.
L'or a quant à lui connu une semaine en dents de scie, démarrée en hausse avant de faire brusquement marche arrière. "Le prix de l'or est tombé d'un plus haut en trois semaines avec l'annonce d'un nouvel accord entre les États-Unis et le Japon et après que le président américain Donald Trump eut déclaré qu'un accord avec la Chine pourrait être conclu plus tôt que prévu", selon Carlo Alberto de Casa, analyste chez ActivTrades. Sur le London Bullion Market, l'once d'or valait 1.495 USD vendredi contre 1.504 USD la semaine précédente.
Enfin, le sucre a grimpé cette semaine, porté par la possibilité d'une hausse future de la demande en bioéthanol aux États-Unis et par une baisse de la production au Brésil. Les prix du sucre sont "soutenus par l'idée que les États-Unis tentent d'augmenter la consommation de bioéthanol, ainsi que par des interrogations sur la production", a résumé Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group. Le Brésil étant avec l'Inde l'un des deux plus gros producteurs de sucre, toute baisse de production dans ses vastes plantations de canne à sucre risque d'en affecter le cours. Sur le Liffe de Londres, la tonne de sucre blanc pour livraison en décembre valait 340,90 dollars, contre 324,60 dollars le vendredi précédent. Sur l'ICE Futures US de New York, la livre de sucre brut pour livraison en mars 2020 valait 12,64 cents, contre 12,06 cents sept jours auparavant.