Les prix du blé étaient en progression, jeudi 15 octobre à la mi-journée, au lendemain du résultat d'un appel d'offres de l'Algérie qui semble avoir consacré les blés européens. Les producteurs, notamment français, craignaient de se faire damer le pion par leurs concurrents russes.
"Le tant attendu appel d'offres de l'Algérie se solderait par un achat relativement conséquent en blé de l'ordre de 600.000 tonnes, probablement entièrement d'origine Europe, réparties entre la Baltique, l'Allemagne et la France", a indiqué le cabinet Agritel. Il s'agissait du premier appel d'offres lancé après l'ouverture du cahier des charges aux caractéristiques des blés de la mer Noire, notamment russes. "Dans ce contexte, que ce soit les bases ou bien encore les prix sur Euronext, les cours trouvent du soutien", a souligné Agritel.
D'une manière générale, la demande reste soutenue, et des craintes persistent sur les levées des semis d'automne en Russie et aux États-Unis. "Dans l'hémisphère sud, ce sont les semis de soja et de maïs qui sont impactés par le déficit hydrique sur le continent sud-américain", a ajouté Agritel. Un contexte de nature à soutenir les cours, d'autant plus que FranceAgriMer a révisé en nette baisse la production hexagonale de maïs, à 12,7 millions de tonnes (Mt), soit 600.000 tonnes de moins que l'estimation de septembre.
Cette évolution, conjuguée à une révision à la hausse des exportations à destination des voisins européens de la France, conduit FranceAgriMer à réviser drastiquement le stock final de maïs à 2,2 Mt (- 900.000 tonnes).
"Le tant attendu appel d'offres de l'Algérie se solderait par un achat relativement conséquent en blé de l'ordre de 600.000 tonnes, probablement entièrement d'origine Europe, réparties entre la Baltique, l'Allemagne et la France", a indiqué le cabinet Agritel. Il s'agissait du premier appel d'offres lancé après l'ouverture du cahier des charges aux caractéristiques des blés de la mer Noire, notamment russes. "Dans ce contexte, que ce soit les bases ou bien encore les prix sur Euronext, les cours trouvent du soutien", a souligné Agritel.
D'une manière générale, la demande reste soutenue, et des craintes persistent sur les levées des semis d'automne en Russie et aux États-Unis. "Dans l'hémisphère sud, ce sont les semis de soja et de maïs qui sont impactés par le déficit hydrique sur le continent sud-américain", a ajouté Agritel. Un contexte de nature à soutenir les cours, d'autant plus que FranceAgriMer a révisé en nette baisse la production hexagonale de maïs, à 12,7 millions de tonnes (Mt), soit 600.000 tonnes de moins que l'estimation de septembre.
Cette évolution, conjuguée à une révision à la hausse des exportations à destination des voisins européens de la France, conduit FranceAgriMer à réviser drastiquement le stock final de maïs à 2,2 Mt (- 900.000 tonnes).