L'australien BHP, plus grand producteur mondial de minerais, a prévenu mardi 18 février que la demande de matières premières qu'il produit pourrait être affectée par le nouveau coronavirus en Chine, à moins que l'épidémie ne soit contenue d'ici fin mars.
"Si l'épidémie virale n'est manifestement pas bien contenue d'ici la fin du trimestre en mars, nous prévoyons de revoir à la baisse nos attentes en matière de croissance de la demande de matières premières", a-t-il précisé.
Plus de 72.000 personnes ont été contaminées par le virus qui a coûté la vie à près de 1.900 personnes, presque toutes en Chine continentale.
BHP estime cependant qu'un éventuel impact sur ses activités serait limité.
"Malgré une incertitude à court terme, due à l'épidémie de coronavirus, à la politique commerciale et à la géopolitique, nous restons convaincus du caractère positif des fondamentaux sous-jacents de nos produits de base", a déclaré le directeur général du groupe, Mike Henry.
La mise en garde de BHP intervient après la publication par le groupe d'un bénéfice net (part du groupe) de 4,8 milliards de dollars américains (4,4 milliards d'euros) au second semestre 2019, après un bénéfice de 3,7 milliards de dollars (3,4 milliards d'euros) au cours de la même période de 2018, en grande partie à la faveur de prix élevés des matières premières et d'une augmentation de la production.
"Si l'épidémie virale n'est manifestement pas bien contenue d'ici la fin du trimestre en mars, nous prévoyons de revoir à la baisse nos attentes en matière de croissance de la demande de matières premières", a-t-il précisé.
Plus de 72.000 personnes ont été contaminées par le virus qui a coûté la vie à près de 1.900 personnes, presque toutes en Chine continentale.
BHP estime cependant qu'un éventuel impact sur ses activités serait limité.
"Malgré une incertitude à court terme, due à l'épidémie de coronavirus, à la politique commerciale et à la géopolitique, nous restons convaincus du caractère positif des fondamentaux sous-jacents de nos produits de base", a déclaré le directeur général du groupe, Mike Henry.
La mise en garde de BHP intervient après la publication par le groupe d'un bénéfice net (part du groupe) de 4,8 milliards de dollars américains (4,4 milliards d'euros) au second semestre 2019, après un bénéfice de 3,7 milliards de dollars (3,4 milliards d'euros) au cours de la même période de 2018, en grande partie à la faveur de prix élevés des matières premières et d'une augmentation de la production.