Depuis jeudi 10 octobre, "un regain d'optimisme souffle sur les marchés des métaux", encouragés par la perspective d'une "percée" dans les négociations entre la Chine et les États-Unis, indique Daniel Briesemann, analyste chez Commerzbank. "Nous avons eu de très très bonnes négociations avec la Chine", a déclaré le président américain, Donald Trump, soulignant que les discussions allaient se poursuivre.
Par ailleurs, le zinc a également profité du fait que le groupe indien Vedanta Ressources a annoncé la fermeture pour quatre mois de la mine de Skorpion Zinc, au sud-est de la Namibie, en raison de problèmes techniques. Une "explication probable" du "net intérêt" des investisseurs pour le métal, pour Alastair Munro, analyste chez Marex Spectron. Avec une capacité de production de 150.000 tonnes par an, Skropion est l'une des plus grandes infrastructures de production de zinc au monde.
Le palladium a bénéficié de son côté de "l'augmentation de l'appétit pour le risque" dans un marché optimiste vis-à-vis des négociations commerciales sino-américaines. "Cette reprise a également été alimentée par le fort intérêt des investisseurs spéculatifs", a-t-il ajouté en soulignant les importantes entrées d'argent enregistrées par Bloomberg dans les fonds indiciels adossés au palladium. Le cours du métal a grimpé cette semaine, atteignant vendredi un nouveau record, à 1.709,50 dollars l'once.
La pluie plombe le café
Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s'échangeait à 5.787,50 dollars vendredi contre 5.634 dollars le vendredi précédent à la même heure. Le zinc valait 2.407,50 dollars la tonne, contre 2.305,50 sept jours auparavant.
Le café perdait du terrain cette semaine, pénalisé par les conditions météorologiques favorables au Brésil et au Vietnam, les deux principaux pays producteurs. Vendredi, le robusta est ainsi tombé à un niveau plus vu depuis fin 2010, à 1.231 dollars la tonne, tandis que la livre d'arabica a atteint 92,20 cents, un plus bas en un mois.
Par ailleurs, le zinc a également profité du fait que le groupe indien Vedanta Ressources a annoncé la fermeture pour quatre mois de la mine de Skorpion Zinc, au sud-est de la Namibie, en raison de problèmes techniques. Une "explication probable" du "net intérêt" des investisseurs pour le métal, pour Alastair Munro, analyste chez Marex Spectron. Avec une capacité de production de 150.000 tonnes par an, Skropion est l'une des plus grandes infrastructures de production de zinc au monde.
Le palladium a bénéficié de son côté de "l'augmentation de l'appétit pour le risque" dans un marché optimiste vis-à-vis des négociations commerciales sino-américaines. "Cette reprise a également été alimentée par le fort intérêt des investisseurs spéculatifs", a-t-il ajouté en soulignant les importantes entrées d'argent enregistrées par Bloomberg dans les fonds indiciels adossés au palladium. Le cours du métal a grimpé cette semaine, atteignant vendredi un nouveau record, à 1.709,50 dollars l'once.
La pluie plombe le café
Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s'échangeait à 5.787,50 dollars vendredi contre 5.634 dollars le vendredi précédent à la même heure. Le zinc valait 2.407,50 dollars la tonne, contre 2.305,50 sept jours auparavant.
Le café perdait du terrain cette semaine, pénalisé par les conditions météorologiques favorables au Brésil et au Vietnam, les deux principaux pays producteurs. Vendredi, le robusta est ainsi tombé à un niveau plus vu depuis fin 2010, à 1.231 dollars la tonne, tandis que la livre d'arabica a atteint 92,20 cents, un plus bas en un mois.