Les ministres français des Finances Bruno Le Maire et de la Défense Florence Parly seront à Rome cette semaine pour discuter des suites de l'accord conclu sur STX France, avec leurs homologues italiens.
Après des semaines de tension, Paris et Rome sont finalement parvenus l'an dernier à trouver un accord sur le chantier naval nazairien, promis à l'Italien Fincantieri, mais finalement nationalisé. Aux termes de cet accord, le groupe italien aura finalement la majorité du capital de STX, mais l'État français gardera une minorité de blocage. Cet accord doit encore être définitivement entériné.
Sur STX, "on avance exactement au rythme où ça doit avancer", a assuré sur ce point Bruno Le Maire à son arrivée à un forum économique franco-italien qui s'est ouvert à Rome le 27 janvier.
Les choses avancent également sur le volet militaire de cet accord, a-t-il précisé, ajoutant qu'il se rendrait à Rome cette semaine avec Florence Parly, à une date non précisée, pour en discuter, avec les ministres italiens concernés.
Au-delà du chantier civil STX, Paris et Rome ont en effet affiché leur ambition de créer un "champion naval" européen, en rapprochant Fincantieri et Naval Group (ex-DCNS), géant français de la construction navale militaire.
Après des semaines de tension, Paris et Rome sont finalement parvenus l'an dernier à trouver un accord sur le chantier naval nazairien, promis à l'Italien Fincantieri, mais finalement nationalisé. Aux termes de cet accord, le groupe italien aura finalement la majorité du capital de STX, mais l'État français gardera une minorité de blocage. Cet accord doit encore être définitivement entériné.
Sur STX, "on avance exactement au rythme où ça doit avancer", a assuré sur ce point Bruno Le Maire à son arrivée à un forum économique franco-italien qui s'est ouvert à Rome le 27 janvier.
Les choses avancent également sur le volet militaire de cet accord, a-t-il précisé, ajoutant qu'il se rendrait à Rome cette semaine avec Florence Parly, à une date non précisée, pour en discuter, avec les ministres italiens concernés.
Au-delà du chantier civil STX, Paris et Rome ont en effet affiché leur ambition de créer un "champion naval" européen, en rapprochant Fincantieri et Naval Group (ex-DCNS), géant français de la construction navale militaire.