Le Premier ministre Jean Castex a écarté lundi 19 octobre un report du plan de relance de 100 milliards d'euros à cause de la deuxième vague de Covid-19 dont il a reconnu les "répercussions" économiques, soulignant sa volonté de travailler avec les régions.
"J'entends dire que la résurgence de l'épidémie pourrait mettre au second plan le plan de relance", a affirmé le chef du gouvernement lors d'un discours à l'occasion du congrès des Régions de France à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). "Ce serait une profonde erreur d'analyse tant ce plan vise à accroître les carnets de commandes des entreprises, les incite à recourir à l'activité partielle plutôt qu'aux licenciements et prévoit des dispositifs particulièrement ambitieux d'aide à l'embauche et de recours à la formation."
Il a toutefois prévenu que la seconde vague de "la crise sanitaire aura des répercussions sur l'économie et l'emploi. Ses effets se font déjà sentir et s'amplifieront".
Devant les présidents des 13 régions, qui se sont déclarés prêts à travailler main dans la main avec l'État pour que le plan de relance soit un succès, Jean Castex a plaidé pour une "alliance" afin "d'accroître davantage encore l'ampleur de cette relance indispensable".
"La relance ne sera rapide et rigoureuse que si elle s'ancre dans les territoires au plus près des réalités de notre tissu économique", a-t-il expliqué.
En réponse à Renaud Muselier, qui préside Régions de France et qui s'inquiétait d'éventuels retards administratifs dans le déblocage des fonds, le Premier ministre s'est voulu rassurant.
"J'entends dire que la résurgence de l'épidémie pourrait mettre au second plan le plan de relance", a affirmé le chef du gouvernement lors d'un discours à l'occasion du congrès des Régions de France à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). "Ce serait une profonde erreur d'analyse tant ce plan vise à accroître les carnets de commandes des entreprises, les incite à recourir à l'activité partielle plutôt qu'aux licenciements et prévoit des dispositifs particulièrement ambitieux d'aide à l'embauche et de recours à la formation."
Il a toutefois prévenu que la seconde vague de "la crise sanitaire aura des répercussions sur l'économie et l'emploi. Ses effets se font déjà sentir et s'amplifieront".
Devant les présidents des 13 régions, qui se sont déclarés prêts à travailler main dans la main avec l'État pour que le plan de relance soit un succès, Jean Castex a plaidé pour une "alliance" afin "d'accroître davantage encore l'ampleur de cette relance indispensable".
"La relance ne sera rapide et rigoureuse que si elle s'ancre dans les territoires au plus près des réalités de notre tissu économique", a-t-il expliqué.
En réponse à Renaud Muselier, qui préside Régions de France et qui s'inquiétait d'éventuels retards administratifs dans le déblocage des fonds, le Premier ministre s'est voulu rassurant.