Les industriels enthousiastes face au plan de soutien à l'aéronautique
À la suite de l'annonce par le gouvernement d'un plan de soutien au secteur aéronautique doté de 15 md EUR, les professionnels du secteur se montrent satisfaits. Eric Trappier, président du groupement des industries aéronautiques et spatiales (Gifas), salue un plan "ambitieux et historique". "Dans ce moment si crucial" pour la filière aéronautique "où elle joue sa survie", il constitue selon lui "un acte fondateur de la France industrielle d’après-crise, en reconquête de son avenir". Si l'objectif d'un avion qui n'émet pas de CO2 à l'horizon 2035 est "ambitieux", il estime que "la France, quand elle est moteur, peut contribuer à tirer les autres composantes de l'Europe".
"Ce plan pour nous est très satisfaisant, a déclaré de son côté le président exécutif d'Airbus, Guillaume Faury. Il répond aux attentes principales qu'on avait et me paraît à la fois de bonne ampleur et bien adapté dans son contenu". Le directeur général de Safran, Philippe Petitcolin, se félicite des mesures prises pour autoriser le chômage partiel : "c'est quand même ça la chose la plus importante, on ne préservera l'emploi que si les mesures nous permettent de continuer à vivre".
Arnaud Soulet, le vice-président du Cluster Altytud, qui réunit 60 entreprises des Hauts-de-France de la filière aéronautique est également enthousiaste: "Quinze milliards, c’est plus que ce qui était annoncé !". "Ces mesures, comme le chômage partiel, nous en avons besoin maintenant. Nous avons besoin de cette perfusion de l’État pour passer la vague".
À la suite de l'annonce par le gouvernement d'un plan de soutien au secteur aéronautique doté de 15 md EUR, les professionnels du secteur se montrent satisfaits. Eric Trappier, président du groupement des industries aéronautiques et spatiales (Gifas), salue un plan "ambitieux et historique". "Dans ce moment si crucial" pour la filière aéronautique "où elle joue sa survie", il constitue selon lui "un acte fondateur de la France industrielle d’après-crise, en reconquête de son avenir". Si l'objectif d'un avion qui n'émet pas de CO2 à l'horizon 2035 est "ambitieux", il estime que "la France, quand elle est moteur, peut contribuer à tirer les autres composantes de l'Europe".
"Ce plan pour nous est très satisfaisant, a déclaré de son côté le président exécutif d'Airbus, Guillaume Faury. Il répond aux attentes principales qu'on avait et me paraît à la fois de bonne ampleur et bien adapté dans son contenu". Le directeur général de Safran, Philippe Petitcolin, se félicite des mesures prises pour autoriser le chômage partiel : "c'est quand même ça la chose la plus importante, on ne préservera l'emploi que si les mesures nous permettent de continuer à vivre".
Arnaud Soulet, le vice-président du Cluster Altytud, qui réunit 60 entreprises des Hauts-de-France de la filière aéronautique est également enthousiaste: "Quinze milliards, c’est plus que ce qui était annoncé !". "Ces mesures, comme le chômage partiel, nous en avons besoin maintenant. Nous avons besoin de cette perfusion de l’État pour passer la vague".