Alstom a annoncé que son nouveau train régional ne rejetant aucune émission de CO2 roulerait sur le réseau ferré allemand en 2018, en alternative non polluante aux trains diesel.
Ce train fonctionne avec une motorisation par pile à hydrogène et n'émet en conséquence que de la vapeur et de l'eau condensée, a expliqué son patron Henri Poupart-Lafarge, au salon des techniques ferroviaires Innotrans, à Berlin.
Le constructeur de trains français, sous les feux des critiques actuellement pour sa décision de fermer son usine française de Belfort, avait signé il y a deux ans une lettre d'intention avec les États régionaux allemands de Basse-Saxe, Bade-Wurtemberg, Rhénanie du Nord-Westphalie et Hesse pour la fourniture d'une cinquantaine de ces trains baptisés Coradia iLint.
"Avec l'arrivée de technologies à pile combustible sur les rails, commence une nouvelle époque pour les liaisons non électrifiées", s'est réjoui le ministre allemand des Transports, Alexander Dobrindt. L’État allemand a participé à hauteur de 8 millions d'euros au financement de développement du train. Ce train, construit dans l'usine allemande d'Alstom à Salzgitter, doit permettre de remplacer les trains diesel polluants et bruyants qui roulent encore sur les lignes non électrifiées. Le réseau ferré allemand est actuellement électrifié à hauteur de 60 %, précise le ministère.
Ce train fonctionne avec une motorisation par pile à hydrogène et n'émet en conséquence que de la vapeur et de l'eau condensée, a expliqué son patron Henri Poupart-Lafarge, au salon des techniques ferroviaires Innotrans, à Berlin.
Le constructeur de trains français, sous les feux des critiques actuellement pour sa décision de fermer son usine française de Belfort, avait signé il y a deux ans une lettre d'intention avec les États régionaux allemands de Basse-Saxe, Bade-Wurtemberg, Rhénanie du Nord-Westphalie et Hesse pour la fourniture d'une cinquantaine de ces trains baptisés Coradia iLint.
"Avec l'arrivée de technologies à pile combustible sur les rails, commence une nouvelle époque pour les liaisons non électrifiées", s'est réjoui le ministre allemand des Transports, Alexander Dobrindt. L’État allemand a participé à hauteur de 8 millions d'euros au financement de développement du train. Ce train, construit dans l'usine allemande d'Alstom à Salzgitter, doit permettre de remplacer les trains diesel polluants et bruyants qui roulent encore sur les lignes non électrifiées. Le réseau ferré allemand est actuellement électrifié à hauteur de 60 %, précise le ministère.