Boeing et Airbus affichent des carnets de commande proches après le salon du Bourget. Les livraisons d'appareils depuis le début de l'année montrent une répartition équilibrée d'un marché toujours porteur malgré la crise du transport.
Boeing affiche 692 commandes nettes d'avions commerciaux depuis le début de l'année, selon un bilan au 2 juillet. C'est un peu moins que son rival européen Airbus, qui a annoncé le 3 juillet des commandes nettes à fin juin pour 722 appareils.
Le gros des commandes nettes de Boeing concernent son moyen courrier 737, l'avion le plus vendu au monde, avec 591 unités. Il en enregistre aussi 82 pour son dernier né, le long-courrier 787 dit "Dreamliner", qui a repris les airs il y a quelques semaines après avoir été cloué au sol pendant quatre mois pour des problèmes de batteries. L'avionneur européen a enregistré 758 commandes brutes mais aussi 36 annulations, selon ses chiffres. À fin mai, son carnet était de 493 commandes nettes et 517 brutes. Airbus a bénéficié en juin d'une commande de 100 avions de Lufthansa à laquelle s'ajoute une commande de 30 des futurs long-courriers A350-900, annoncée le 30 mai par Singapore Airlines et pas encore comptabilisée. Aucune commande n'a été enregistrée pour le modèle géant A380.
Airbus et Boeing ont fini le Bourget au coude à coude. Le premier a comptabilisé pour 39,3 milliards de dollars de commandes fermes portant sur 241 appareils. Le montant s'est élevé à 38 milliards pour Boeing. Si on ajoute les intentions d'achats, Airbus a fini en revanche loin devant le groupe de Seattle, avec un total des commandes de 68,7 milliards contre 60,2 milliards. Airbus table pour cette année sur des commandes dépassant les 800 unités.
Boeing a indiqué par ailleurs avoir livré 169 avions au deuxième trimestre, ce qui porte son total depuis le début de l'année à 306. C'est cette fois-ci mieux qu'Airbus, qui a fait état de 295 livraisons sur six mois. Le 737 représente aussi la majeure partie des livraisons (116 exemplaires au deuxième trimestre et 218 sur six mois). Pour les long-courriers, Boeing a livré 16 exemplaires du 787 ce trimestre, contre un seul sur les trois premiers mois de l'année, 6 du 747, 8 du 767 et 23 du 777.
Le gros des commandes nettes de Boeing concernent son moyen courrier 737, l'avion le plus vendu au monde, avec 591 unités. Il en enregistre aussi 82 pour son dernier né, le long-courrier 787 dit "Dreamliner", qui a repris les airs il y a quelques semaines après avoir été cloué au sol pendant quatre mois pour des problèmes de batteries. L'avionneur européen a enregistré 758 commandes brutes mais aussi 36 annulations, selon ses chiffres. À fin mai, son carnet était de 493 commandes nettes et 517 brutes. Airbus a bénéficié en juin d'une commande de 100 avions de Lufthansa à laquelle s'ajoute une commande de 30 des futurs long-courriers A350-900, annoncée le 30 mai par Singapore Airlines et pas encore comptabilisée. Aucune commande n'a été enregistrée pour le modèle géant A380.
Airbus et Boeing ont fini le Bourget au coude à coude. Le premier a comptabilisé pour 39,3 milliards de dollars de commandes fermes portant sur 241 appareils. Le montant s'est élevé à 38 milliards pour Boeing. Si on ajoute les intentions d'achats, Airbus a fini en revanche loin devant le groupe de Seattle, avec un total des commandes de 68,7 milliards contre 60,2 milliards. Airbus table pour cette année sur des commandes dépassant les 800 unités.
Boeing a indiqué par ailleurs avoir livré 169 avions au deuxième trimestre, ce qui porte son total depuis le début de l'année à 306. C'est cette fois-ci mieux qu'Airbus, qui a fait état de 295 livraisons sur six mois. Le 737 représente aussi la majeure partie des livraisons (116 exemplaires au deuxième trimestre et 218 sur six mois). Pour les long-courriers, Boeing a livré 16 exemplaires du 787 ce trimestre, contre un seul sur les trois premiers mois de l'année, 6 du 747, 8 du 767 et 23 du 777.