La seule offre de reprise du chantier naval STX France de Saint-Nazaire a été soumise déposée par l'italien Fincantieri, selon plusieurs journaux français.
Le tribunal sud-coréen examinant la procédure de redressement judiciaire de sa maison mère STX Offshore and Shipbuilding, avait annoncé le 27 décembre qu'un seul dossier lui était parvenu dans les délais impartis. Le groupe Fincantieri et le gouvernement français n'ont souhaité faire aucun commentaire.
Tout comme STX Offshore and Shipbuilding, placé en redressement judiciaire en mai, STX France a été officiellement mis en vente par la justice sud-coréenne le 19 octobre. L'italien Fincantieri, les chantiers néerlandais Damen ou encore le groupe asiatique Genting Hong Kong avaient montré un intérêt pour racheter les chantiers de Saint-Nazaire, dont le carnet de commande est plein.
La justice doit annoncer le 3 janvier si cette offre est acceptée. "Si le prix proposé est trop bas, l'offre sera refusée et un nouvel appel d'offre sera lancé", a déclaré le porte-parole du tribunal.
La possibilité de tomber entre les mains du groupe italien ne ravit pas les syndicats, inquiets de l'éventualité de rejoindre un groupe concurrent. "Fincantieri, on les a rencontrés. On se pose encore plein de questions sur leur véritable projet industriel et surtout sur le projet social qu'il y a derrière parce qu'on est sur les mêmes créneaux de travail", a réagi pour sa part Christophe Morel de la CFDT. "C'est une déception, c'est pas le candidat que l'on soutenait", a souligné pour sa part François Janvier de la CFE-CGC restant toutefois prudent en attendant l'annonce officielle. Le néerlandais Damen est privilégié par les syndicats et élus.
Cette nouvelle ne ferme pas la porte à une participation minoritaire dans les chantiers nazairiens de DCNS, qui avait la préférence du gouvernement français.
Le tribunal sud-coréen examinant la procédure de redressement judiciaire de sa maison mère STX Offshore and Shipbuilding, avait annoncé le 27 décembre qu'un seul dossier lui était parvenu dans les délais impartis. Le groupe Fincantieri et le gouvernement français n'ont souhaité faire aucun commentaire.
Tout comme STX Offshore and Shipbuilding, placé en redressement judiciaire en mai, STX France a été officiellement mis en vente par la justice sud-coréenne le 19 octobre. L'italien Fincantieri, les chantiers néerlandais Damen ou encore le groupe asiatique Genting Hong Kong avaient montré un intérêt pour racheter les chantiers de Saint-Nazaire, dont le carnet de commande est plein.
La justice doit annoncer le 3 janvier si cette offre est acceptée. "Si le prix proposé est trop bas, l'offre sera refusée et un nouvel appel d'offre sera lancé", a déclaré le porte-parole du tribunal.
La possibilité de tomber entre les mains du groupe italien ne ravit pas les syndicats, inquiets de l'éventualité de rejoindre un groupe concurrent. "Fincantieri, on les a rencontrés. On se pose encore plein de questions sur leur véritable projet industriel et surtout sur le projet social qu'il y a derrière parce qu'on est sur les mêmes créneaux de travail", a réagi pour sa part Christophe Morel de la CFDT. "C'est une déception, c'est pas le candidat que l'on soutenait", a souligné pour sa part François Janvier de la CFE-CGC restant toutefois prudent en attendant l'annonce officielle. Le néerlandais Damen est privilégié par les syndicats et élus.
Cette nouvelle ne ferme pas la porte à une participation minoritaire dans les chantiers nazairiens de DCNS, qui avait la préférence du gouvernement français.