Le sidérurgiste ArcelorMittal a réalisé son "meilleur trimestre de la décennie, de janvier à mars 2021, bénéficiant de la reprise de l'activité industrielle et des prix record de l'acier sur les marchés mondiaux.
L’année 2021 a très bien commencé pour ArcelorMittal. Au premier trimestre, le groupe a presque doublé son résultat net à 2,28 milliards de dollars contre 1,22 milliard au quatrième trimestre 2020, et contre une perte nette de 1,12 milliard de dollars au premier trimestre 2020. Dans le même temps, son chiffre d'affaires a progressé de près de 15 % par rapport au dernier trimestre 2020, à 16,2 milliards de dollars, et de 9 % par rapport au premier trimestre 2020.
Le bond du chiffre d'affaires est "dû essentiellement" à la hausse des prix de vente de l'acier (+ 17,8 %) et à la hausse des revenus du minerai de fer, a précisé le groupe. Le sidérurgiste, présent dans 60 pays, a réalisé un excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 3,24 milliards de dollars alors qu'un consensus de dix-sept analystes de grands établissements rendu public par le groupe il y a quelques jours, tablait sur seulement 2,96 milliards.
Hausse de la consommation mondiale d’acier
"Le premier trimestre de l'année a été notre meilleur trimestre de la décennie", a commenté Aditya Mittal, nouveau directeur général du groupe nommé en février et fils de son fondateur qui se déclare néanmoins "conscient" de la poursuite du "défi sanitaire dans le monde, en particulier dans les économies émergentes" comme l'Inde. Le groupe affiche une grande confiance en la hausse de la consommation d'acier dans le monde en 2021 : elle devrait s'élever entre 4,5 et 5,5 % voire plus, selon ses estimations.
La priorité d’ArcelorMittal d'ici la fin de l'année est de "maintenir un avantage compétitif sur les couts de production". Il cite aussi la poursuite du processus de décarbonation de l'industrie, qui a bien démarré en Europe notamment, afin de créer "un marché de l'acier bas carbone".
Le bond du chiffre d'affaires est "dû essentiellement" à la hausse des prix de vente de l'acier (+ 17,8 %) et à la hausse des revenus du minerai de fer, a précisé le groupe. Le sidérurgiste, présent dans 60 pays, a réalisé un excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 3,24 milliards de dollars alors qu'un consensus de dix-sept analystes de grands établissements rendu public par le groupe il y a quelques jours, tablait sur seulement 2,96 milliards.
Hausse de la consommation mondiale d’acier
"Le premier trimestre de l'année a été notre meilleur trimestre de la décennie", a commenté Aditya Mittal, nouveau directeur général du groupe nommé en février et fils de son fondateur qui se déclare néanmoins "conscient" de la poursuite du "défi sanitaire dans le monde, en particulier dans les économies émergentes" comme l'Inde. Le groupe affiche une grande confiance en la hausse de la consommation d'acier dans le monde en 2021 : elle devrait s'élever entre 4,5 et 5,5 % voire plus, selon ses estimations.
La priorité d’ArcelorMittal d'ici la fin de l'année est de "maintenir un avantage compétitif sur les couts de production". Il cite aussi la poursuite du processus de décarbonation de l'industrie, qui a bien démarré en Europe notamment, afin de créer "un marché de l'acier bas carbone".