Le groupe sidérurgique ArcelorMittal n'exclut pas d'avoir recours à des mesures de chômage partiel sur son site de Fos-sur-Mer, comme l'ont déjà évoqué les syndicats, toutefois ce "ne serait pas à l'ordre du jour dans l'immédiat".
ArcelorMittal a indiqué vendredi 13 novembre qu'il n'excluait pas des mesures de chômage partiel à Fos-sur-Mer. La CGT du site avait annoncé quelques heures plus tôt que la direction du groupe se préparait à recourir à cette éventualité, pour faire face à la concurrence de plus en plus forte de l'acier chinois. Dans une note interne, la direction du site expliquait avoir informé les représentants des salariés de possibles "nouvelles mesures d'accompagnement", à savoir "la prise de dix jours de congés au premier trimestre 2016" et "une démarche de recours au dispositif d'activité partielle de six jours".