Le groupe industriel helvético-suédois ABB a relevé ses objectifs à moyen terme. ABB mise sur les petites acquisitions ciblées, mais aussi sur les grandes tendances telles que la décarbonation de l'économie.
ABB, qui fabrique aussi bien des robots pour l'industrie que des systèmes de traction ferroviaire ou des bornes de recharge pour véhicules électriques a relevé ses objectifs à moyen terme. Le groupe helvético-suédois vise désormais une croissance annuelle de 4 à 7 % de ses revenus "à travers le cycle économique" et une marge brute d'exploitation "d'au moins 15 %" à partir de 2023, a-t-il indiqué.
Quelque 3 à 5 % de la progression de ses revenus doivent provenir de sa croissance organique et 1 à 2 % d’acquisitions ciblées. ABB prévoit de réaliser au moins cinq petites ou moyennes acquisitions par an, a-t-il détaillé. L’industriel, qui a engagé une grande réorganisation de ses activités, avait auparavant placé la barre entre 3 et 5 % pour la croissance de ses ventes et entre 13 et 16 % pour sa marge.
Le groupe suisse compte sur les grandes "tendances séculaires" pour alimenter sa croissance, telles que l'efficacité énergétique avec la décarbonation de l'économie ou le vieillissement de la population et l'augmentation des coûts de main-d’œuvre qui soutiennent la demande pour l'automation industrielle, a pris en exemple le fabricant d'équipements de robotique.
Dynamique positive en 2022
À court terme, le groupe s'attend cependant à des retards de livraisons en raison des tensions dans les chaînes d'approvisionnement.
"L'activité au niveau des commandes est restée robuste jusqu'à maintenant, et nous anticipons une dynamique de marché positive en 2022", a déclaré son directeur général, Björn Rosengren.
"Cela dit, nous devons toujours gérer les perturbations dans la chaîne d'approvisionnement, ce qui impactera probablement les livraisons aux clients au quatrième trimestre 2021 et au moins sur le début de l'année prochaine", a-t-il reconnu.
Le groupe prévoit toujours d'introduire séparément en Bourse sa division d'e-mobilité, qui fabrique des bornes de recharge électrique.
La séparation légale de l'entité devrait être finalisée durant le premier trimestre 2022, précise-t-il. "Si les conditions de marchés restent favorables", il espère toujours l'introduire en Bourse durant le premier semestre 2022.
Quelque 3 à 5 % de la progression de ses revenus doivent provenir de sa croissance organique et 1 à 2 % d’acquisitions ciblées. ABB prévoit de réaliser au moins cinq petites ou moyennes acquisitions par an, a-t-il détaillé. L’industriel, qui a engagé une grande réorganisation de ses activités, avait auparavant placé la barre entre 3 et 5 % pour la croissance de ses ventes et entre 13 et 16 % pour sa marge.
Le groupe suisse compte sur les grandes "tendances séculaires" pour alimenter sa croissance, telles que l'efficacité énergétique avec la décarbonation de l'économie ou le vieillissement de la population et l'augmentation des coûts de main-d’œuvre qui soutiennent la demande pour l'automation industrielle, a pris en exemple le fabricant d'équipements de robotique.
Dynamique positive en 2022
À court terme, le groupe s'attend cependant à des retards de livraisons en raison des tensions dans les chaînes d'approvisionnement.
"L'activité au niveau des commandes est restée robuste jusqu'à maintenant, et nous anticipons une dynamique de marché positive en 2022", a déclaré son directeur général, Björn Rosengren.
"Cela dit, nous devons toujours gérer les perturbations dans la chaîne d'approvisionnement, ce qui impactera probablement les livraisons aux clients au quatrième trimestre 2021 et au moins sur le début de l'année prochaine", a-t-il reconnu.
Le groupe prévoit toujours d'introduire séparément en Bourse sa division d'e-mobilité, qui fabrique des bornes de recharge électrique.
La séparation légale de l'entité devrait être finalisée durant le premier trimestre 2022, précise-t-il. "Si les conditions de marchés restent favorables", il espère toujours l'introduire en Bourse durant le premier semestre 2022.