Après le sabotage présumé des gazoducs Nordstream en mer Baltique, la police danoise a annoncé avoir reçu des signalements de vols de drones non autorisés près de champs gaziers en mer du Nord. Des incidents similaires côté norvégien avaient déjà été signalés.
"Nous avons eu au cours du week-end des signalements de drones en mer du Nord", a déclaré le 4 octobre un porte-parole de la police danoise.
Selon la publication spécialisée "Danish Offshore Industry", des drones ont été observés près du champ gazier Roar, opéré par TotalEnergies, à plus de 200 km des côtes à l'ouest du Danemark.
C'est la deuxième fois en une semaine que de tels incidents sont rapportés.
Le 29 septembre, le quotidien "Ekstra Bladet" faisait état d'une activité "non autorisée" de drones au-dessus du champ Halfdan B, également exploité par le groupe français.
"En ce qui concerne une activité non autorisée de drones près de nos installations en mer du Nord, TotalEnergies renvoie aux autorités danoises à qui nous signalons toute potentielle observation", a indiqué l’entreprise.
La sécurité relevée d'un cran
Le groupe a assuré avoir pris "les mesures nécessaires concernant [les] procédures de sécurité".
Avec le sabotage présumé des gazoducs qui relient la Russie à l'Allemagne sur sa zone économique exclusive, le Danemark a relevé d'un cran la sécurité autour de ses infrastructures énergétiques.
La Norvège voisine, désormais principal fournisseur de gaz de l'Europe, lui a emboîté le pas, considérant ses installations pétrogazières comme une potentielle cible de choix.
Pour justifier le renforcement de la sécurité dans le secteur, les autorités norvégiennes ont invoqué un nombre croissant d'observations de drones près des installations pétrolières.
Selon la publication spécialisée "Danish Offshore Industry", des drones ont été observés près du champ gazier Roar, opéré par TotalEnergies, à plus de 200 km des côtes à l'ouest du Danemark.
C'est la deuxième fois en une semaine que de tels incidents sont rapportés.
Le 29 septembre, le quotidien "Ekstra Bladet" faisait état d'une activité "non autorisée" de drones au-dessus du champ Halfdan B, également exploité par le groupe français.
"En ce qui concerne une activité non autorisée de drones près de nos installations en mer du Nord, TotalEnergies renvoie aux autorités danoises à qui nous signalons toute potentielle observation", a indiqué l’entreprise.
La sécurité relevée d'un cran
Le groupe a assuré avoir pris "les mesures nécessaires concernant [les] procédures de sécurité".
Avec le sabotage présumé des gazoducs qui relient la Russie à l'Allemagne sur sa zone économique exclusive, le Danemark a relevé d'un cran la sécurité autour de ses infrastructures énergétiques.
La Norvège voisine, désormais principal fournisseur de gaz de l'Europe, lui a emboîté le pas, considérant ses installations pétrogazières comme une potentielle cible de choix.
Pour justifier le renforcement de la sécurité dans le secteur, les autorités norvégiennes ont invoqué un nombre croissant d'observations de drones près des installations pétrolières.