La grève pour les salaires a été reconduite le 13 octobre dans la raffinerie Esso-ExxonMobil de Gravenchon, quelques jours après un accord entre la direction et deux syndicats majoritaires. Les salariés du site de Fos-sur-Mer ont voté la reprise du travail.
"La grève a été reconduite à 6 heures sur les deux sites" de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) et Gravenchon-Port-Jérôme (Seine-Maritime), a indiqué le délégué syndical central CGT, Christophe Aubert.
Depuis, les grévistes de la raffinerie de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) ont décidé de lever la grève, ont annoncé la CGT et la direction d'Esso-ExxonMobil, quelques jours après un accord entre la direction et deux syndicats majoritaires. "Il y a une levée du mouvement à Fos-sur-Mer" votée par les salariés après la relève de 13 heures, a expliqué Christophe Aubert, délégué syndical central CGT, tandis que la direction se disait "satisfaite que ce mouvement se termine".
À Gravenchon-Port-Jérôme, le ministère de la Transition énergétique a lancé la veille la réquisition des personnels indispensables au fonctionnement du dépôt de carburants, afin de débloquer des stocks et de ravitailler les stations-service franciliennes à sec.
La réquisition ne vise pas les opérations de la raffinerie et donc la production de carburant. La préfecture de Normandie a mis à exécution ces arrêtés, qui ont été notifiés par le directeur du site à quatre salariés, deux pour le 12 octobre et deux pour le lendemain, selon le ministère.
Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, a annoncé qu'un recours en référé contre cette réquisition serait déposé le 13 octobre. Six des sept raffineries de France étaient en grève jeudi : les quatre de TotalEnergies et les deux d'Esso-ExxonMobil. Seule celle de Lavéra (groupe Petroineos) n'est pas bloquée.
Le dépôt de Flandres, près de Dunkerque, est également en grève. La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a assuré que le gouvernement prendra "s'il le faut" des mesures "pour débloquer l'approvisionnement" depuis ce dépôt.
Chez Esso-ExxonMobil, un accord avait été trouvé le 11 octobre avec deux syndicats majoritaires dont la CFDT, mais pas avec la CGT.
En revanche chez TotalEnergies, la direction assure que "les conditions ne sont pas réunies pour organiser la négociation entre toutes les organisations représentatives" et réclame avant cela que les blocages cessent.
Depuis, les grévistes de la raffinerie de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) ont décidé de lever la grève, ont annoncé la CGT et la direction d'Esso-ExxonMobil, quelques jours après un accord entre la direction et deux syndicats majoritaires. "Il y a une levée du mouvement à Fos-sur-Mer" votée par les salariés après la relève de 13 heures, a expliqué Christophe Aubert, délégué syndical central CGT, tandis que la direction se disait "satisfaite que ce mouvement se termine".
À Gravenchon-Port-Jérôme, le ministère de la Transition énergétique a lancé la veille la réquisition des personnels indispensables au fonctionnement du dépôt de carburants, afin de débloquer des stocks et de ravitailler les stations-service franciliennes à sec.
La réquisition ne vise pas les opérations de la raffinerie et donc la production de carburant. La préfecture de Normandie a mis à exécution ces arrêtés, qui ont été notifiés par le directeur du site à quatre salariés, deux pour le 12 octobre et deux pour le lendemain, selon le ministère.
Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, a annoncé qu'un recours en référé contre cette réquisition serait déposé le 13 octobre. Six des sept raffineries de France étaient en grève jeudi : les quatre de TotalEnergies et les deux d'Esso-ExxonMobil. Seule celle de Lavéra (groupe Petroineos) n'est pas bloquée.
Le dépôt de Flandres, près de Dunkerque, est également en grève. La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a assuré que le gouvernement prendra "s'il le faut" des mesures "pour débloquer l'approvisionnement" depuis ce dépôt.
Chez Esso-ExxonMobil, un accord avait été trouvé le 11 octobre avec deux syndicats majoritaires dont la CFDT, mais pas avec la CGT.
En revanche chez TotalEnergies, la direction assure que "les conditions ne sont pas réunies pour organiser la négociation entre toutes les organisations représentatives" et réclame avant cela que les blocages cessent.