L'Espagne, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la Chine sont les pays ayant fait le plus d'efforts en faveur des énergies renouvelables parmi les nations les plus riches, selon un rapport publié par l'organisation non gouvernementale Climate Group.
Un rapport publié le 19 septembre par l’ONG Climate Group a classé les membres du G20 en prenant en compte les objectifs annoncés et les progrès réalisés.
L’Espagne, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Chine arrivent en tête du classement. Certains pays ont réalisé de modestes avancées, comme l'Australie, l'Inde, les États-Unis ou le Japon, alors que d'autres ont un mauvais score malgré une importante consommation issue des énergies renouvelables, comme le Canada ou le Brésil. La Russie et l'Arabie saoudite occupent les dernières places du classement.
Le rapport, publié à l'occasion de la Semaine du climat de New York, qui se tient en marge de l'Assemblée générale des Nations unies, prend en compte diverses données, comme les objectifs de part des énergies renouvelables dans le mix énergétique, l'ambition zéro carbone, mais aussi la part totale de renouvelables en place en 2021 et celle installée durant l'année 2021.
L'Espagne, qui a obtenu le meilleur score, a été saluée pour avoir mis en place "l'une des plus ambitieuses politiques de production d'énergie renouvelable au sein de l'Union européenne", avec une hausse significative de ses capacités de production ces dix dernières années.
Les énergies renouvelables représentent en effet 21 % de la consommation finale totale espagnole en 2020, dépassant ses objectifs de plus de 20 % et avec une volonté désormais d'atteindre 43 % en 2030 et 97 % en 2050, quand le pays a prévu d'atteindre la neutralité carbone.
Nécessité de diversification
À l'inverse, le Canada ou le Brésil sont considérés comme "retardataires" malgré d'importantes capacités hydroélectriques, le rapport insistant sur la nécessité de diversification des sources d'énergie face aux risques de sécheresses sévères dans les prochaines décennies.
Les États doivent se montrer plus volontaires dans leur politique énergétique, avec des objectifs clairs, et mettre en place les solutions de financement à même d'inciter à l'investissement privé, souligne le rapport.
"Avec l'Europe qui se prépare à vivre une crise énergétique majeure, les responsables politiques regrettent de ne pas avoir démarré plus rapidement leur transition. Ils ne doivent pas faire le choix de rester enfermés dans les énergies fossiles", a déclaré Mike Peirce, directeur exécutif de Climate Group.
L’Espagne, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Chine arrivent en tête du classement. Certains pays ont réalisé de modestes avancées, comme l'Australie, l'Inde, les États-Unis ou le Japon, alors que d'autres ont un mauvais score malgré une importante consommation issue des énergies renouvelables, comme le Canada ou le Brésil. La Russie et l'Arabie saoudite occupent les dernières places du classement.
Le rapport, publié à l'occasion de la Semaine du climat de New York, qui se tient en marge de l'Assemblée générale des Nations unies, prend en compte diverses données, comme les objectifs de part des énergies renouvelables dans le mix énergétique, l'ambition zéro carbone, mais aussi la part totale de renouvelables en place en 2021 et celle installée durant l'année 2021.
L'Espagne, qui a obtenu le meilleur score, a été saluée pour avoir mis en place "l'une des plus ambitieuses politiques de production d'énergie renouvelable au sein de l'Union européenne", avec une hausse significative de ses capacités de production ces dix dernières années.
Les énergies renouvelables représentent en effet 21 % de la consommation finale totale espagnole en 2020, dépassant ses objectifs de plus de 20 % et avec une volonté désormais d'atteindre 43 % en 2030 et 97 % en 2050, quand le pays a prévu d'atteindre la neutralité carbone.
Nécessité de diversification
À l'inverse, le Canada ou le Brésil sont considérés comme "retardataires" malgré d'importantes capacités hydroélectriques, le rapport insistant sur la nécessité de diversification des sources d'énergie face aux risques de sécheresses sévères dans les prochaines décennies.
Les États doivent se montrer plus volontaires dans leur politique énergétique, avec des objectifs clairs, et mettre en place les solutions de financement à même d'inciter à l'investissement privé, souligne le rapport.
"Avec l'Europe qui se prépare à vivre une crise énergétique majeure, les responsables politiques regrettent de ne pas avoir démarré plus rapidement leur transition. Ils ne doivent pas faire le choix de rester enfermés dans les énergies fossiles", a déclaré Mike Peirce, directeur exécutif de Climate Group.