Total peut continuer à effectuer des forages de recherches en Guyane. Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a rejeté le 1er février les référés-suspension de sept associations de défense de l’environnement contre son permis et l’arrêté qui l'y autorisait.
Un recours sur le fond doit être jugé dans quelques mois devant le même tribunal, a précisé Juliette Renaud, des Amis de la Terre.
"Les forages exploratoires de Total vont continuer dans les prochains mois, mais cela ne signifie aucunement que Total a carte blanche en Guyane. La mobilisation contre les projets pétroliers au large de la Guyane ne fait que commencer, et les associations entendent continuer leurs actions et les procédures juridiques", ont annoncé Greenpeace France, Guyane Nature Environnement, Nature Rights, Sea Shepherd France, Surfrider Europe et ZEA et les Amis de la Terre France.
Les sept associations avaient déposé en décembre un recours dénonçant l'absence de saisine de la Commission nationale du débat public (CNDP) sur les forages "qui a pourtant rappelé qu’elle était obligatoire".
Elles ont aussi critiqué "l’absence d’expertise et l'incompréhension du dossier des commissaires-enquêteurs chargés d’émettre un avis argumenté sur l’étude d'impact environnemental de Total" et "les lacunes de la modélisation en cas de marée noire".
Le Brésil a refusé au groupe français l'autorisation d'effectuer des forages dans cinq secteurs de l'embouchure de l'Amazone, jugeant que le plan présenté par Total en cas d'éventuelles situations d'urgence présentait d'"importantes incertitudes".
Un recours sur le fond doit être jugé dans quelques mois devant le même tribunal, a précisé Juliette Renaud, des Amis de la Terre.
"Les forages exploratoires de Total vont continuer dans les prochains mois, mais cela ne signifie aucunement que Total a carte blanche en Guyane. La mobilisation contre les projets pétroliers au large de la Guyane ne fait que commencer, et les associations entendent continuer leurs actions et les procédures juridiques", ont annoncé Greenpeace France, Guyane Nature Environnement, Nature Rights, Sea Shepherd France, Surfrider Europe et ZEA et les Amis de la Terre France.
Les sept associations avaient déposé en décembre un recours dénonçant l'absence de saisine de la Commission nationale du débat public (CNDP) sur les forages "qui a pourtant rappelé qu’elle était obligatoire".
Elles ont aussi critiqué "l’absence d’expertise et l'incompréhension du dossier des commissaires-enquêteurs chargés d’émettre un avis argumenté sur l’étude d'impact environnemental de Total" et "les lacunes de la modélisation en cas de marée noire".
Le Brésil a refusé au groupe français l'autorisation d'effectuer des forages dans cinq secteurs de l'embouchure de l'Amazone, jugeant que le plan présenté par Total en cas d'éventuelles situations d'urgence présentait d'"importantes incertitudes".