Les ports de la Baie de Seine ont étudié les carburants alternatifs en termes de diminution des rejets polluants du transport maritime. Le gaz naturel liquéfié (GNL) semble l’une des solutions les plus prometteuses.
Quels seront les carburants marins de demain ? Telle est la question à laquelle a tenté de répondre le «laboratoire d’études» que veulent être les ports d’Haropa (Le Havre, Rouen et Paris), les Ports normands associés (PNA ou Caen-Ouistreham et Cherbourg), le syndicat mixte du port de Dieppe et le Département de Seine-Maritime lors de la conférence du 16 décembre au Havre : le projet «Safe Seca»* est destiné à développer les carburants alternatifs dans le but de diminuer les rejets polluants du transport maritime. Plus d’un an d’études, d’un coût d’environ 1 million d’euros financé à 50 % par l’Europe, et une conclusion : le gaz naturel liquéfié semble l’une des solutions les plus prometteuses.