L'avis de l'Agence française pour la biodiversité (AFB) sur le projet de parc éolien en mer du Tréport, attendu le 1er février, a été reporté.
Le groupe Engie a remporté en consortium en 2014 l'appel d'offres pour la construction de ce parc éolien en mer de près de 500 mégawatts, qui prévoit d'installer 62 éoliennes au large du Tréport. Le projet, contesté en Normandie, notamment par les pêcheurs locaux qui critiquent la zone choisie, requiert un avis conforme du Conseil d'administration de l'AFB, car une partie de son périmètre se trouve dans le Parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d’Opale, qui dépend de l'Agence.
En octobre, le conseil de gestion du Parc naturel marin avait rendu un avis défavorable sur le projet, mais en décembre, Engie avait proposé plusieurs modifications pour rassurer les pêcheurs et réduire l'impact du projet sur l'environnement.
"On a décalé un peu parce que le dossier et l'instruction du dossier technique – c'est des kilos de papier – n'est pas terminé", a précisé le directeur général de l'AFB Christophe Aubel, évoquant désormais une réunion "courant février, plutôt la seconde quinzaine".
L'AFB peut rendre un avis favorable, avec ou sans prescriptions, ou défavorable qui empêche l'autorisation du projet en l'état. La directrice générale d'Engie, Isabelle Kocher, avait estimé la semaine dernière qu'un avis défavorable serait "un signal très négatif" pour la filière éolienne en mer française.
Le groupe Engie a remporté en consortium en 2014 l'appel d'offres pour la construction de ce parc éolien en mer de près de 500 mégawatts, qui prévoit d'installer 62 éoliennes au large du Tréport. Le projet, contesté en Normandie, notamment par les pêcheurs locaux qui critiquent la zone choisie, requiert un avis conforme du Conseil d'administration de l'AFB, car une partie de son périmètre se trouve dans le Parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d’Opale, qui dépend de l'Agence.
En octobre, le conseil de gestion du Parc naturel marin avait rendu un avis défavorable sur le projet, mais en décembre, Engie avait proposé plusieurs modifications pour rassurer les pêcheurs et réduire l'impact du projet sur l'environnement.
"On a décalé un peu parce que le dossier et l'instruction du dossier technique – c'est des kilos de papier – n'est pas terminé", a précisé le directeur général de l'AFB Christophe Aubel, évoquant désormais une réunion "courant février, plutôt la seconde quinzaine".
L'AFB peut rendre un avis favorable, avec ou sans prescriptions, ou défavorable qui empêche l'autorisation du projet en l'état. La directrice générale d'Engie, Isabelle Kocher, avait estimé la semaine dernière qu'un avis défavorable serait "un signal très négatif" pour la filière éolienne en mer française.