Six candidats ont déposé officiellement leurs offres le 15 mars pour le projet de parc éolien en mer au large de Dunkerque.
Après le retrait, lundi 18, mars du groupe canadien Boralex du consortium candidat qu'il formait avec les néerlandais Eneco et Van Oord et DGE (filiale du japonais Mitsubishi Corporation), cinq candidats restaient en lice.
L'un des groupements est formé par les groupes belge Deme, français Quadran Energues Marines et anglo-néerlandais Shell. Les quatre autre comprennent des sociétés françaises : le partenariat entre le suédois Vattenfall, l'allemand WPD et la Caisse des Dépôts; l'alliance entre le français Engie, le portugais EDPR et l'allemand EON; le consortium du belge Elicio, du français Total et du danois Orsted (ex-Dong Energy); et enfin le consortium entre EDF, l'allemand Innogy et le canadien Enbridge.
Cet appel d'offres, le troisième lancé par l'État français pour développer les éoliennes marines posées (par opposition aux turbines flottantes), vise à construire un parc d'une capacité d'environ 500 mégawatts. Le lauréat doit être désigné courant 2019, pour une mise en service du parc à l'horizon 2022.
Par rapport aux deux précédents appels d'offres – qui ont permis d'attribuer six projets de parcs éoliens –, celui-ci a changé dans sa forme, avec une préselection suivie d'un échange dit de "dialogue concurrentiel" entre les candidats potentiels et l'administration pour déterminer le cahier des charges précis du futur parc.
Cette méthode est censée réduire le temps de réalisation du projet et réduire certains risques de développement pour le lauréat.
Après le retrait, lundi 18, mars du groupe canadien Boralex du consortium candidat qu'il formait avec les néerlandais Eneco et Van Oord et DGE (filiale du japonais Mitsubishi Corporation), cinq candidats restaient en lice.
L'un des groupements est formé par les groupes belge Deme, français Quadran Energues Marines et anglo-néerlandais Shell. Les quatre autre comprennent des sociétés françaises : le partenariat entre le suédois Vattenfall, l'allemand WPD et la Caisse des Dépôts; l'alliance entre le français Engie, le portugais EDPR et l'allemand EON; le consortium du belge Elicio, du français Total et du danois Orsted (ex-Dong Energy); et enfin le consortium entre EDF, l'allemand Innogy et le canadien Enbridge.
Cet appel d'offres, le troisième lancé par l'État français pour développer les éoliennes marines posées (par opposition aux turbines flottantes), vise à construire un parc d'une capacité d'environ 500 mégawatts. Le lauréat doit être désigné courant 2019, pour une mise en service du parc à l'horizon 2022.
Par rapport aux deux précédents appels d'offres – qui ont permis d'attribuer six projets de parcs éoliens –, celui-ci a changé dans sa forme, avec une préselection suivie d'un échange dit de "dialogue concurrentiel" entre les candidats potentiels et l'administration pour déterminer le cahier des charges précis du futur parc.
Cette méthode est censée réduire le temps de réalisation du projet et réduire certains risques de développement pour le lauréat.