Le groupe parapétrolier français CGG s'est satisfait "des signes d'une reprise progressive de la demande" pour ses activités, et a réduit sa perte nette à 17 millions de dollars au troisième trimestre 2021.
Le chiffre d'affaires de CGG de juillet à septembre 2021 s'est élevé à 210 millions de dollars, en hausse de 18 % par rapport à la même période en 2020. Les ventes du troisième trimestre sont toutefois encore loin de celles de 2019 (323,4 millions de dollars).
Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires est en baisse de 12 % par rapport à celui de 2020, et de 5 % en prenant en compte uniquement les revenus des activités.
Le chiffre d'affaires des trois derniers mois est également en dessous du consensus des analystes du fournisseur d'informations financières Factset, qui l'anticipaient à 281,5 millions de dollars. Si CGG est dans le rouge pour le septième trimestre consécutif, il a réduit sa perte nette à 17 millions de dollars, loin des 93 millions recensés en 2020. Sur les neuf premiers mois de l'année, la perte nette part du groupe s'élève à 148 millions de dollars, réduite de plus de moitié.
"Portefeuille de technologies"
La directrice générale, Sophie Zurquiyahn, s'est dite "satisfaite" de ces résultats et "encouragée par les signes d’une reprise progressive de la demande pour nos activités, soutenue par l'amélioration du contexte macro-économique." Elle a salué "un portefeuille étendu de technologies, au-delà de nos cœurs de métiers" dans "la digitalisation des géosciences et leur application à l’environnement" ou "la transition énergétique ainsi qu'à la surveillance des infrastructures", offrant des perspectives de croissance.
Les cours du baril du pétrole, après une forte chute lors de la crise sanitaire, sont repartis à la hausse avec la reprise de l'activité économique dans le monde, et ont battu des records datant de plusieurs années cet automne, ce qui peut à terme soutenir les entreprises de services pétroliers.
Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires est en baisse de 12 % par rapport à celui de 2020, et de 5 % en prenant en compte uniquement les revenus des activités.
Le chiffre d'affaires des trois derniers mois est également en dessous du consensus des analystes du fournisseur d'informations financières Factset, qui l'anticipaient à 281,5 millions de dollars. Si CGG est dans le rouge pour le septième trimestre consécutif, il a réduit sa perte nette à 17 millions de dollars, loin des 93 millions recensés en 2020. Sur les neuf premiers mois de l'année, la perte nette part du groupe s'élève à 148 millions de dollars, réduite de plus de moitié.
"Portefeuille de technologies"
La directrice générale, Sophie Zurquiyahn, s'est dite "satisfaite" de ces résultats et "encouragée par les signes d’une reprise progressive de la demande pour nos activités, soutenue par l'amélioration du contexte macro-économique." Elle a salué "un portefeuille étendu de technologies, au-delà de nos cœurs de métiers" dans "la digitalisation des géosciences et leur application à l’environnement" ou "la transition énergétique ainsi qu'à la surveillance des infrastructures", offrant des perspectives de croissance.
Les cours du baril du pétrole, après une forte chute lors de la crise sanitaire, sont repartis à la hausse avec la reprise de l'activité économique dans le monde, et ont battu des records datant de plusieurs années cet automne, ce qui peut à terme soutenir les entreprises de services pétroliers.