BP s'engage à atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, tout en restant très flou sur la manière d'y parvenir. Cet objectif, est porté par le nouveau directeur général Bernard Looney, en poste depuis une semaine et qui promet de "réinventer BP".
Le géant pétrolier britannique explique que son engagement porte sur les émissions polluantes de ses propres activités, ainsi que celles liées au pétrole et au gaz qu'il produit. Il donne peu d'éléments sur les mesures qu'il compte mettre en place, si ce n'est qu'il veut augmenter la proportion, encore très limitée, de ses investissements dans des activités plus vertes, actuellement autour de 5 %.
BP veut en outre réduire de 50 % l'intensité carbone (la quantité de gaz à effet de serre émise par unité d'énergie produit), d'ici 2050, des produits qu'il vend à ses clients, et réduire les émissions de méthane (beaucoup plus puissant que le CO2), sur toutes ses opérations de production d'hydrocarbures.
"Nous avons besoin d'une transition rapide vers la neutralité carbone. Ce sera certainement un défi mais également une fabuleuse occasion", a prévenu Bernard Looney. Le patron de BP a expliqué qu'il s'agissait d'une "première étape".
Le dirigeant a assuré qu'il en dirait plus sur sa stratégie en septembre prochain. "Nous sommes vus par beaucoup comme une source du problème. J'ai compris cela", a-t-il lancé.
Le géant pétrolier britannique explique que son engagement porte sur les émissions polluantes de ses propres activités, ainsi que celles liées au pétrole et au gaz qu'il produit. Il donne peu d'éléments sur les mesures qu'il compte mettre en place, si ce n'est qu'il veut augmenter la proportion, encore très limitée, de ses investissements dans des activités plus vertes, actuellement autour de 5 %.
BP veut en outre réduire de 50 % l'intensité carbone (la quantité de gaz à effet de serre émise par unité d'énergie produit), d'ici 2050, des produits qu'il vend à ses clients, et réduire les émissions de méthane (beaucoup plus puissant que le CO2), sur toutes ses opérations de production d'hydrocarbures.
"Nous avons besoin d'une transition rapide vers la neutralité carbone. Ce sera certainement un défi mais également une fabuleuse occasion", a prévenu Bernard Looney. Le patron de BP a expliqué qu'il s'agissait d'une "première étape".
Le dirigeant a assuré qu'il en dirait plus sur sa stratégie en septembre prochain. "Nous sommes vus par beaucoup comme une source du problème. J'ai compris cela", a-t-il lancé.