Le constructeur suédois de poids lourds Volvo Group a publié des résultats trimestriels solides malgré la pénurie de semi-conducteurs et la guerre en Ukraine, qui risquent de continuer de peser sur son activité.
Au premier trimestre 2022, Volvo Group, le numéro deux mondial du secteur poids lourds, a dégagé un bénéfice net de 7 milliards de couronnes (682 millions d'euros), en repli de 20 % sur un an, du fait de la constitution de stocks liée à une chaîne d'approvisionnement instable.
Mais le résultat d'exploitation ajusté du groupe qui construit également des bus et des engins de chantier progresse, lui, de 7 %, à 12,7 milliards de couronnes, soit nettement mieux qu'attendu par les analystes.
Comme l'ensemble du secteur, Volvo reste pénalisé par le manque récurrent de semi-conducteurs. – ces puces électroniques essentiellement fabriquées en Asie et qui font défaut depuis le printemps 2021 – et d'autres composants.
Actifs russes
À la suite de l'invasion de l'Ukraine, le groupe a aussi suspendu toutes ses ventes et la production de son usine en Russie, et déprécié à hauteur de 4,1 milliards de couronnes ses actifs russes, jusqu'alors valorisés à environ 9 milliards de couronnes. D'autres dépréciations pourraient s'avérer nécessaires dans la période à venir.
Malgré ces difficultés, le chiffre d'affaires trimestriel a progressé de 12 %, à 105,3 milliards de couronnes.
Volvo a notamment livré 6 % de poids lourds de plus qu'il y a un an, avec 55.600 véhicules, un record pour un premier trimestre.
Tout en saluant le "meilleur premier trimestre" de son histoire, le groupe a prévenu que le manque persistant de semi-conducteurs et autres composants ainsi que l'impact des sanctions en Russie sur sa chaîne d'approvisionnement pourraient encore affecter ses futurs résultats.
Mais le résultat d'exploitation ajusté du groupe qui construit également des bus et des engins de chantier progresse, lui, de 7 %, à 12,7 milliards de couronnes, soit nettement mieux qu'attendu par les analystes.
Comme l'ensemble du secteur, Volvo reste pénalisé par le manque récurrent de semi-conducteurs. – ces puces électroniques essentiellement fabriquées en Asie et qui font défaut depuis le printemps 2021 – et d'autres composants.
Actifs russes
À la suite de l'invasion de l'Ukraine, le groupe a aussi suspendu toutes ses ventes et la production de son usine en Russie, et déprécié à hauteur de 4,1 milliards de couronnes ses actifs russes, jusqu'alors valorisés à environ 9 milliards de couronnes. D'autres dépréciations pourraient s'avérer nécessaires dans la période à venir.
Malgré ces difficultés, le chiffre d'affaires trimestriel a progressé de 12 %, à 105,3 milliards de couronnes.
Volvo a notamment livré 6 % de poids lourds de plus qu'il y a un an, avec 55.600 véhicules, un record pour un premier trimestre.
Tout en saluant le "meilleur premier trimestre" de son histoire, le groupe a prévenu que le manque persistant de semi-conducteurs et autres composants ainsi que l'impact des sanctions en Russie sur sa chaîne d'approvisionnement pourraient encore affecter ses futurs résultats.