L’année qui va s’ouvrir sera celle de la fin des travaux de l’A355, l’autoroute de contournement de Strasbourg par l’ouest. Le concessionnaire, Arcos filiale du groupe Vinci, reste prudent quant à la date d’ouverture à la circulation : celle-ci pourrait encore intervenir avant le 31 décembre prochain, mais tout dépendra de la météo… et de la résorption ou non de la crise sanitaire. Cette mise en service est visée, sinon, d’ici à février 2022.
Le chantier, en tout cas, sera achevé en intégralité ou pour l'essentiel à la fin 2021. D’ores et déjà, les viaducs sont terminés pour celui de Vendenheim, au nord, et en phase de dernier lançage pour celui de la Bruche au sud. L’essentiel des interventions de cette nouvelle année va consister en la pose des revêtements de chaussée. Ainsi, la liaison à péage de 24 kilomètres qui représente 550 millions d’euros d’investissements sera prête, au niveau de ses infrastructures, à remplir sa vocation : soulager le trafic de l’autoroute A35 à hauteur de Strasbourg, en captant notamment la circulation de transit national et international des poids lourds. Les prévisions de l’État portent sur un trafic d’environ 7.000 camions par jour, qui délesterait de 40 % leur trafic quotidien sur la portion strasbourgeoise de l’A35.
Transfert de l’A35
Cette section, quant à elle, va passer du giron de l’État à celui de l’Eurométropole de Strasbourg, dans le cadre du transfert aux collectivités locales de la gestion des routes nationales et des autoroutes non concédées. Outre la métropole, la mesure concerne surtout la Collectivité européenne d’Alsace qui va naîtra en janvier, avec dans son berceau 6.300 kilomètres de voies supplémentaires à entretenir. Les deux collectivités estiment ne pas avoir reçu de l’État la compensation suffisante. Elles demandaient plus de 30 millions d’euros et devront sans doute se contenter de 23 millions.
Le chantier, en tout cas, sera achevé en intégralité ou pour l'essentiel à la fin 2021. D’ores et déjà, les viaducs sont terminés pour celui de Vendenheim, au nord, et en phase de dernier lançage pour celui de la Bruche au sud. L’essentiel des interventions de cette nouvelle année va consister en la pose des revêtements de chaussée. Ainsi, la liaison à péage de 24 kilomètres qui représente 550 millions d’euros d’investissements sera prête, au niveau de ses infrastructures, à remplir sa vocation : soulager le trafic de l’autoroute A35 à hauteur de Strasbourg, en captant notamment la circulation de transit national et international des poids lourds. Les prévisions de l’État portent sur un trafic d’environ 7.000 camions par jour, qui délesterait de 40 % leur trafic quotidien sur la portion strasbourgeoise de l’A35.
Transfert de l’A35
Cette section, quant à elle, va passer du giron de l’État à celui de l’Eurométropole de Strasbourg, dans le cadre du transfert aux collectivités locales de la gestion des routes nationales et des autoroutes non concédées. Outre la métropole, la mesure concerne surtout la Collectivité européenne d’Alsace qui va naîtra en janvier, avec dans son berceau 6.300 kilomètres de voies supplémentaires à entretenir. Les deux collectivités estiment ne pas avoir reçu de l’État la compensation suffisante. Elles demandaient plus de 30 millions d’euros et devront sans doute se contenter de 23 millions.