La transition énergétique et écologique dans le routier passera par un mix de solutions. Parmi elles, le recours à l'hydrogène possède un fort potentiel, selon EcoCo2.
La lutte contre le changement climatique et l’amélioration de la qualité de l’air affectent directement la réglementation des transports. Ainsi, la Stratégie nationale bas carbone, qui fixe à 2050 la neutralité carbone en France, la loi d’orientation des mobilités (LOM), qui interdit la vente de véhicules à énergies fossiles carbonées d’ici 2040, ou la création de zones à faibles émissions (ZFE) dans la plupart des villes françaises façonnent l'avenir de ce secteur.
"D'ici 2040, toutes les études prévoient que le biogaz et surtout l’électricité seront les principales énergies consommées dans le transport routier de marchandises, constate Andrew Patry, chargé de mission des programmes "Objectif CO2", lors d’un webinaire consacré aux énergies de rupture organisé le 2 juillet par Eco CO2. La société est missionnée par l’Ademe pour accompagner les entreprises dans le programme Engagements volontaires pour l’environnement (EVE) Transports et logistiques.
Charge et volume utiles préservés
En matière d’électromobilité, deux grandes étapes sont envisagées. Jusqu’en 2025-2030, il faudra se contenter de moteurs électriques alimentés par batteries. Puis une nouvelle génération de moteurs à hydrogène produit par électrolyse, via l'usage de piles à combustible, devrait s'imposer.
"D'ici 2040, toutes les études prévoient que le biogaz et surtout l’électricité seront les principales énergies consommées dans le transport routier de marchandises, constate Andrew Patry, chargé de mission des programmes "Objectif CO2", lors d’un webinaire consacré aux énergies de rupture organisé le 2 juillet par Eco CO2. La société est missionnée par l’Ademe pour accompagner les entreprises dans le programme Engagements volontaires pour l’environnement (EVE) Transports et logistiques.
Charge et volume utiles préservés
En matière d’électromobilité, deux grandes étapes sont envisagées. Jusqu’en 2025-2030, il faudra se contenter de moteurs électriques alimentés par batteries. Puis une nouvelle génération de moteurs à hydrogène produit par électrolyse, via l'usage de piles à combustible, devrait s'imposer.