Les principales organisations patronales françaises du transport routier – la FNTR, l'Unostra, l'OTRE et TLF – ont lancé un appel aux pouvoirs publics pour que leurs adhérents restent en mesure d'assurer l'approvisionnement de la population en biens indispensables.
"L’ensemble des acteurs du transport de marchandises et de la logistique se mobilisent et réaffirment leur engagement total pour assurer la continuité des approvisionnements alimentaires, matériels et sanitaires des Français", écrivent-elles.
"Les marchandises et les produits, essentiels à la vie de tous, vont continuer d’être préparés en usines et entrepôts logistiques et d'être acheminés par des camions partout sur le territoire", soulignent les quatre syndicats.
Face à "l'enjeu crucial de nourrir 68 millions de français", qu'ils considèrent comme une "mission de service public pour la nation", ils réclament que leurs salariés soient accompagnés pour "exercer leurs métiers en toute sécurité malgré leurs propres inquiétudes".
Concrètement, afin de faciliter le travail des transporteurs, notamment celui des conducteurs et des logisticiens, elles demandent l'adaptation des règles de restriction de circulation des véhicules et d'amplitude de temps de travail – les camions sont notamment interdits de circulation le dimanche – et la garantie de lieux de repos et de restauration pour les conducteurs.
Les quatre fédérations réclament la facilitation de l'accès des salariés aux plateformes logistiques ainsi que du recrutement d’intérimaires "afin de pallier l'absentéisme dû aux mesures de confinement". Elles souhaitent enfin que les entreprises de transport et logistique soient prioritaires pour recevoir du gel hydroalcoolique et des gants.
La filière "demande un signe fort de la part des pouvoirs publics reconnaissant le caractère stratégique de son activité". Elle rappelle les mots de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen : "La libre circulation des biens est primordiale pour maintenir la disponibilité pour tous des marchandises".
"L’ensemble des acteurs du transport de marchandises et de la logistique se mobilisent et réaffirment leur engagement total pour assurer la continuité des approvisionnements alimentaires, matériels et sanitaires des Français", écrivent-elles.
"Les marchandises et les produits, essentiels à la vie de tous, vont continuer d’être préparés en usines et entrepôts logistiques et d'être acheminés par des camions partout sur le territoire", soulignent les quatre syndicats.
Face à "l'enjeu crucial de nourrir 68 millions de français", qu'ils considèrent comme une "mission de service public pour la nation", ils réclament que leurs salariés soient accompagnés pour "exercer leurs métiers en toute sécurité malgré leurs propres inquiétudes".
Concrètement, afin de faciliter le travail des transporteurs, notamment celui des conducteurs et des logisticiens, elles demandent l'adaptation des règles de restriction de circulation des véhicules et d'amplitude de temps de travail – les camions sont notamment interdits de circulation le dimanche – et la garantie de lieux de repos et de restauration pour les conducteurs.
Les quatre fédérations réclament la facilitation de l'accès des salariés aux plateformes logistiques ainsi que du recrutement d’intérimaires "afin de pallier l'absentéisme dû aux mesures de confinement". Elles souhaitent enfin que les entreprises de transport et logistique soient prioritaires pour recevoir du gel hydroalcoolique et des gants.
La filière "demande un signe fort de la part des pouvoirs publics reconnaissant le caractère stratégique de son activité". Elle rappelle les mots de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen : "La libre circulation des biens est primordiale pour maintenir la disponibilité pour tous des marchandises".