"Quand les vents contraires se lèvent, les marins doivent être à leur poste sur le
pont !" Noël Comte, PDG de Sotradel, a le sens de la formule. Avec un chiffre d’affaires en augmentation de 3 %, tournant autour de 28 millions d’euros toutes activités confondues, sa société a bien résisté en 2020. Elle a renforcé son résultat d’exploitation et fait légèrement mieux qu’en 2019.
Le transporteur, basée à Saint-Euphémie (Ain), a tiré son épingle du jeu grâce, notamment, aux prestations logistiques effectuées chez ses clients. "Lorsque la situation sanitaire les a pris de court, nous nous sommes substitués à leurs sous-traitants, notamment à l’étranger, en renforçant notre activité d’usine logistique in situ, chez l’industriel, et sur nos sites où nous disposons de l’expertise post-manufacturing", explique le président.
L'année passée lui a également permis de développer le volet formation de l'entreprise via, entre autres, son organisme 1 Form’s dédié à la santé et à la sécurité des entreprises. À terme, ce dernier pourra accueillir des salariés d’entreprises du bassin de vie. L’entreprise affiche ses ambitions dans le domaine en consacrant 3.5 % de sa masse salariale à la formation.
Une entreprise qui s'investit sur son territoire
Malgré ces résultats, Noël Comte prévoit un budget 2021 "prudent" mais non dénué d'investissements. Ceux-ci se poursuivront notamment dans l’intelligence artificielle avec le développement de drones, pour faciliter les inventaires dans ses ateliers, et la mise en place d’un système de "put to lignt" pour la préparation des palettes.
Côté innovation, des véhicules fonctionnant au GNC doivent arriver fin janvier. Ceux-ci composeront ainsi 20 % de la flotte de Sotradel, soit une dizaine de véhicules sur les 50 que compte l’entreprise. En 2020, 500.000 km "verts" ont été parcourus par ces engins.
Transporteur principalement local, l'entreprise s’investit dans son territoire. Mécène de plusieurs institutions culturelles à Villefranche-sur-Saône (Rhône), producteur de miel, etc., elle a également financé un studio de "la maison du petit monde" au sein du site hospitalier de Villefranche-sur-Saône. Une manière pour l'entreprise comptant 200 employés et 12 apprentis de continuer à défendre une RSE "volontariste".
pont !" Noël Comte, PDG de Sotradel, a le sens de la formule. Avec un chiffre d’affaires en augmentation de 3 %, tournant autour de 28 millions d’euros toutes activités confondues, sa société a bien résisté en 2020. Elle a renforcé son résultat d’exploitation et fait légèrement mieux qu’en 2019.
Le transporteur, basée à Saint-Euphémie (Ain), a tiré son épingle du jeu grâce, notamment, aux prestations logistiques effectuées chez ses clients. "Lorsque la situation sanitaire les a pris de court, nous nous sommes substitués à leurs sous-traitants, notamment à l’étranger, en renforçant notre activité d’usine logistique in situ, chez l’industriel, et sur nos sites où nous disposons de l’expertise post-manufacturing", explique le président.
L'année passée lui a également permis de développer le volet formation de l'entreprise via, entre autres, son organisme 1 Form’s dédié à la santé et à la sécurité des entreprises. À terme, ce dernier pourra accueillir des salariés d’entreprises du bassin de vie. L’entreprise affiche ses ambitions dans le domaine en consacrant 3.5 % de sa masse salariale à la formation.
Une entreprise qui s'investit sur son territoire
Malgré ces résultats, Noël Comte prévoit un budget 2021 "prudent" mais non dénué d'investissements. Ceux-ci se poursuivront notamment dans l’intelligence artificielle avec le développement de drones, pour faciliter les inventaires dans ses ateliers, et la mise en place d’un système de "put to lignt" pour la préparation des palettes.
Côté innovation, des véhicules fonctionnant au GNC doivent arriver fin janvier. Ceux-ci composeront ainsi 20 % de la flotte de Sotradel, soit une dizaine de véhicules sur les 50 que compte l’entreprise. En 2020, 500.000 km "verts" ont été parcourus par ces engins.
Transporteur principalement local, l'entreprise s’investit dans son territoire. Mécène de plusieurs institutions culturelles à Villefranche-sur-Saône (Rhône), producteur de miel, etc., elle a également financé un studio de "la maison du petit monde" au sein du site hospitalier de Villefranche-sur-Saône. Une manière pour l'entreprise comptant 200 employés et 12 apprentis de continuer à défendre une RSE "volontariste".