Le groupe FM Logistic commence à" récolter les fruits" d'une stratégie de recentrage de son activité transport routier entamée il y a deux ans. Elle représente déjà 35 % du chiffre d'affaires global.
La diversification n'est pas toujours la stratégie mise en œuvre dans une entreprise pour assurer son développement. FM Logistic a ainsi décidé en 2016 de rééquilibrer son activité en redonnant davantage d'importance au transport, son métier d'origine. Ainsi, Vittorio Battaglia a été recruté en 2016 par le groupe au titre de directeur général Transport pour redynamiser l'activité routière.
Les efforts conduits pendant deux ans n'ont pas été vains puisqu'elle représente aujourd'hui 35 % du chiffre d'affaires global de l'entreprise. Mais ce pourcentage n'est pas encore parvenu au niveau souhaité puisque le groupe n'a pas encore affiché "l'objectif ambitieux" des 50 %. "En 2017, qui s'est achevé en mars, nous sommes passés, par rapport à 2016, d'un chiffre d'affaires de 360 à 410 millions d'euros", se félicite ce spécialiste de la route qui a passé notamment, avant son arrivée au sein du groupe, six ans de sa carrière professionnelle chez DHL et six ans chez TNT.
Selon lui, donner plus de poids à l'activité routière n'est pas chose simple car le secteur doit faire face en Europe à "un manque de capacité, des tensions sur le marché, à une nécessité de rééquilibrer les flux et à des temps d'attente trop longs". Il souligne en outre une raréfaction de la main-d'œuvre "avec le vieillissement des conducteurs", car, selon lui, "le métier est devenu moins attractif aux yeux des jeunes".
"Le transport est la clé de notre stratégie"
Se faisant l'écho des revendications de la profession, il estime : "Nous devons être le moteur de rééquilibrage des flux". D'après lui, "les temps d'attente sont trop longs et il y a trop de kilomètres effectués à vide".
Le responsable Transport indique : "Le transport est la clé de notre stratégie". Il prône également "une réduction des temps d'attente", l'amélioration de la numérisation et la prise en compte des contraintes liées au développement durable.
Selon lui, donner plus de poids à l'activité routière n'est pas chose simple car le secteur doit faire face en Europe à "un manque de capacité, des tensions sur le marché, à une nécessité de rééquilibrer les flux et à des temps d'attente trop longs". Il souligne en outre une raréfaction de la main-d'œuvre "avec le vieillissement des conducteurs", car, selon lui, "le métier est devenu moins attractif aux yeux des jeunes".
"Le transport est la clé de notre stratégie"
Se faisant l'écho des revendications de la profession, il estime : "Nous devons être le moteur de rééquilibrage des flux". D'après lui, "les temps d'attente sont trop longs et il y a trop de kilomètres effectués à vide".
Le responsable Transport indique : "Le transport est la clé de notre stratégie". Il prône également "une réduction des temps d'attente", l'amélioration de la numérisation et la prise en compte des contraintes liées au développement durable.