Une station GNC ouvrira en septembre au port de Villefranche-sur-Saône. Quatorze camions pourraient s’y ravitailler ainsi que des… barges.
C’est un projet multimodal qui est en train de se concrétiser à partir de l’installation d’une station GNC au port de Villefranche-sur-Saône en septembre prochain. À l’origine de cette initiative, le transporteur caladois Sotradel a précisé lors du salon Pollutec en décembre les contours de cette station qui sera implantée sur un terrain appartenant à Voies navigables de France (VNF) géré par la Chambre de commerce et d’industrie de Villefranche-Beaujolais. Un terrain qui répond aux attentes multiples des futurs utilisateurs : transporteurs, artisans, collectivités.
Retenu pour l’exploiter, le gazier AS24 du groupe Total a achevé les études techniques préalables et bouclé la convention d’occupation du terrain. Le permis de construire a été déposé mi-janvier. Un peu moins de 1 million d’euros va être investi dans cette station, qui sera l’une des seules à être situées à l’entrée Nord de l’agglomération lyonnaise.
De multiples utilisateurs
Quatorze véhicules se ravitailleront dans un premier temps à la station de Villefranche-sur-Saône : trois des transports Sotradel et onze d’autres d’entreprises du bâtiment et de maintenance, des autocaristes Planche (groupe Keolis) et Maisonneuve, des services techniques de la ville de Villefranche ou des bennes à ordures de la communauté d’agglomération. D’autres transporteurs sont intéressés, à l’image du groupe Kuehne + Nagel qui devrait l’utiliser à partir de 2020.
L’autre intérêt de la future station caladoise est multimodal. VNF et le Centre de recherche en machines thermiques (CRMT) étudient la possibilité d’avitailler des barges au port. Ce qui permettrait de transférer des marchandises de camions sur des barges jusqu’au port Édouard-Herriot ou à Confluence à Lyon. En utilisant tout au long du gaz naturel ! Une perspective encore lointaine qu’il reste à concrétiser.
Retenu pour l’exploiter, le gazier AS24 du groupe Total a achevé les études techniques préalables et bouclé la convention d’occupation du terrain. Le permis de construire a été déposé mi-janvier. Un peu moins de 1 million d’euros va être investi dans cette station, qui sera l’une des seules à être situées à l’entrée Nord de l’agglomération lyonnaise.
De multiples utilisateurs
Quatorze véhicules se ravitailleront dans un premier temps à la station de Villefranche-sur-Saône : trois des transports Sotradel et onze d’autres d’entreprises du bâtiment et de maintenance, des autocaristes Planche (groupe Keolis) et Maisonneuve, des services techniques de la ville de Villefranche ou des bennes à ordures de la communauté d’agglomération. D’autres transporteurs sont intéressés, à l’image du groupe Kuehne + Nagel qui devrait l’utiliser à partir de 2020.
L’autre intérêt de la future station caladoise est multimodal. VNF et le Centre de recherche en machines thermiques (CRMT) étudient la possibilité d’avitailler des barges au port. Ce qui permettrait de transférer des marchandises de camions sur des barges jusqu’au port Édouard-Herriot ou à Confluence à Lyon. En utilisant tout au long du gaz naturel ! Une perspective encore lointaine qu’il reste à concrétiser.