Le Pôle d’intelligence logistique tenait son assemblée générale le 17 juin. Le réseau a vu une augmentation de son nombre d'adhérents.
Le Pôle d’intelligence logistique (Pil’es) continue de grandir. Le 17 juin, 150 personnes se sont retrouvées à l’assemblée générale du réseau de logisticiens basé dans le nord-Isère. Celui-ci a poursuivi sa croissance cette année, passant de 167 adhérents à 185. Il accueille en moyenne une quinzaine de nouveaux membres chaque année. En interne, le pôle renforce son processus d’intégration, notamment avec la mise en place de séances dédiées aux nouveaux adhérents. Il créé également une nouvelle communauté professionnelle pour les directeurs d’exploitation. "L’idée est de voir ce qui se passe chez eux, au plus près du terrain", commente Cécile Michaux, déléguée générale.
Côté partenariat, outre ceux renouvelés avec la CCI-Nord Isère et la communauté d'agglomération Porte de l’Isère (Capi), une nouvelle convention a débuté en 2021 avec la communauté de communes de l’est lyonnais (CCEL). Un plus non-négligeable pour cette collectivité qui pourrait voir s’installer sur son terrain le polémique entrepôt logistique d’Amazon. Le Pil’es souligne également le succès de ses événements comme la biennale de la logistique. Tenue sous forme hybride (en virtuel et présentiel), elle a touché 700 collégiens via différentes interventions dans neuf établissements. Les visites de sites en immersion ont été visionnées au moins 2.000 fois par les participants et le championnat de caristes 1.000 fois.
La logistique urbaine au programme
Sur la question du transport modal, le programme ligne verte se poursuit avec des ateliers s’adressant aux gestionnaires d’infrastructures, aux chercheurs et aux intermédiaires du transport. Objectif : affiner le diagnostic de l’enquête parue en mai et faire en sorte que les acteurs de la chaîne logistique se connaissent. "Ce travail a permis de créer un collectif", se félicite Cécile Michaux. Pour le Pil’es, il s’agira maintenant de mesurer de manière précise le coût total d’un trajet et le temps qu’il prend du GPMM à Lyon. Selon elle, le temps mis par les routiers pour quitter le Grand Port de Marseille notamment, n’est pas suffisamment pris en compte.
Enfin, l’équipe du Pil’es commence un travail approfondi sur les questions de logistique urbaine. Quel transport décarboné choisir en ville ? Comment éviter les conflits d’usages et permettre à tous de stationner ? À l’heure de la mise en place des ZFE, ces questions sont d’autant plus d’actualité pour le réseau.
Côté partenariat, outre ceux renouvelés avec la CCI-Nord Isère et la communauté d'agglomération Porte de l’Isère (Capi), une nouvelle convention a débuté en 2021 avec la communauté de communes de l’est lyonnais (CCEL). Un plus non-négligeable pour cette collectivité qui pourrait voir s’installer sur son terrain le polémique entrepôt logistique d’Amazon. Le Pil’es souligne également le succès de ses événements comme la biennale de la logistique. Tenue sous forme hybride (en virtuel et présentiel), elle a touché 700 collégiens via différentes interventions dans neuf établissements. Les visites de sites en immersion ont été visionnées au moins 2.000 fois par les participants et le championnat de caristes 1.000 fois.
La logistique urbaine au programme
Sur la question du transport modal, le programme ligne verte se poursuit avec des ateliers s’adressant aux gestionnaires d’infrastructures, aux chercheurs et aux intermédiaires du transport. Objectif : affiner le diagnostic de l’enquête parue en mai et faire en sorte que les acteurs de la chaîne logistique se connaissent. "Ce travail a permis de créer un collectif", se félicite Cécile Michaux. Pour le Pil’es, il s’agira maintenant de mesurer de manière précise le coût total d’un trajet et le temps qu’il prend du GPMM à Lyon. Selon elle, le temps mis par les routiers pour quitter le Grand Port de Marseille notamment, n’est pas suffisamment pris en compte.
Enfin, l’équipe du Pil’es commence un travail approfondi sur les questions de logistique urbaine. Quel transport décarboné choisir en ville ? Comment éviter les conflits d’usages et permettre à tous de stationner ? À l’heure de la mise en place des ZFE, ces questions sont d’autant plus d’actualité pour le réseau.