TLF avait choisi un cadre inédit et un thème particulièrement d’actualité pour ces 13e assises régionales du transport et de la logistique : la formation et la transformation numérique.
C’est un robot qui pourrait révolutionner les services urbains, de proximité et la logistique du dernier kilomètre. Ce “droïde" conçu par la société lyonnaise TwinswHeel a été présenté lors des 13e assises régionales du transport et de la logistique à l’IUT de Bron le 20 novembre. L’une des particularités de ce robot livreur est qu’il est "customisable". Avec ses multiples lindars, caméras 2D et 3D, capteurs ultrason et infrarouge, il peut s’adapter à différents métiers, aider une personne âgée à faire ses courses, se mouvoir dans un entrepôt ou dans un espace semi-ouvert, une gare, un aéroport ou un hôpital, en totale autonomie et en toute sécurité. Selon le fondateur de la start-up lyonnaise, Vincent Talon, il peut se déplacer à côté d’un opérateur, se piloter à distance ou être 100 % autonome, répondre aux attentes de la smart city et de l’industrie 4.0.
Robots et véhicules autonomes
Fabriqué à partir de 100 % de pièces en provenance d'Europe, ce robot peut porter jusqu’à 500 kg à une vitesse de 10 à 25 km/h. Il pourra intervenir dans le démantèlement de centrales nucléaires pour le transport de fûts de matières radioactives. Des expérimentations sont ou vont être conduites dans des magasins Franprix à Paris, pour la livraison de colis et de produits frais à Montpellier, dans les rues du quartier de Confluence à Lyon au printemps prochain ainsi que sur certains sites ou usines de Renault, Siemens ou dans un Technicentre de la SNCF. À sa manière, ce “droïde" répond à certaines attentes sociétales : il contribue à lutter contre la pollution et certains troubles musculo-squelettiques. "Dans la mesure où il évolue au milieu des gens, ce robot doit créer de l’empathie", ajoute Vincent Talon.
Robots et véhicules autonomes
Fabriqué à partir de 100 % de pièces en provenance d'Europe, ce robot peut porter jusqu’à 500 kg à une vitesse de 10 à 25 km/h. Il pourra intervenir dans le démantèlement de centrales nucléaires pour le transport de fûts de matières radioactives. Des expérimentations sont ou vont être conduites dans des magasins Franprix à Paris, pour la livraison de colis et de produits frais à Montpellier, dans les rues du quartier de Confluence à Lyon au printemps prochain ainsi que sur certains sites ou usines de Renault, Siemens ou dans un Technicentre de la SNCF. À sa manière, ce “droïde" répond à certaines attentes sociétales : il contribue à lutter contre la pollution et certains troubles musculo-squelettiques. "Dans la mesure où il évolue au milieu des gens, ce robot doit créer de l’empathie", ajoute Vincent Talon.