L'opérateur de transport combiné T3M propose de nouvelles liaisons entre la France et l’Italie. Son offre européenne s’étendra à Anvers et à Valladolid dans les prochains mois. De son côté, Novatrans-Greenmodal enrichit son réseau desservant les ports et développe ses services au gabarit P400.
Après l’Italie, l’opérateur de transport combiné T3M prépare son entrée sur les marchés belge et espagnol. "De nouveaux services entre la France et ces deux pays seront lancés cette année ou début 2023", confie son directeur général, Anthony Chérubini. La liaison avec la Belgique relierait Valenton à Anvers, et celle avec l’Espagne desservirait Bonneuil-sur-Marne, Mouguerre et Valladolid.
Annoncés le 6 avril lors de la Semaine de l’innovation transport et logistique (SITL), ces développements confirment les ambitions de la filiale du groupe Open Modal en Europe. En janvier 2021, elle a noué un partenariat avec le suisse Hupac pour couvrir l’Italie.
Son service entre Bonneuil-sur-Marne et Novarra est prolongé depuis vers quatre destinations : Bari, Pomezia, Pescara et Pordenone. Cet "axe italien" s'ajoute aux corridors méditerranéen et atlantique de T3M. Sur ces corridors, l’opérateur de transport combiné s’appuie sur neuf terminaux français. "En 2021, notre réseau a traité 2.790 trains et transporté 114.737 unités de transport intermodal pour un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros", précise Anthony Chérubini.
Réseau "P400" en construction
Novatrans-Greenmodal a profité également de la SITL pour présenter ses développements. Lors d’une conférence le 6 avril, son directeur général, Thibault Fruitier, a souligné "la diversification des liaisons avec les ports en lien avec les transports maritimes conteneurisés. Ces services s’ajoutent à notre plan de transport continental".
Sur ce dernier, la filiale du groupe Charles André propose désormais "plusieurs liaisons au gabarit P400 : Valenton-Perpignan, Valenton-Avignon, Dourges-Vénissieux et Ludwigshafen-Vénissieux. En décembre, ce réseau P400 sera complété par la liaison Dourges-Avignon-Miramas".
En parallèle, Thibault Fruitier annonce le doublement des capacités des chantiers combinés à Mouguerre, d’ici à la fin de l’année, et à Miramas-Clesud en 2023. "La demande de transport rail-route est en forte croissance. Sans nouveaux terminaux et l’extension de ceux existants, les opérateurs de transport combiné ne pourront pas y répondre", affirme-t-il.
Annoncés le 6 avril lors de la Semaine de l’innovation transport et logistique (SITL), ces développements confirment les ambitions de la filiale du groupe Open Modal en Europe. En janvier 2021, elle a noué un partenariat avec le suisse Hupac pour couvrir l’Italie.
Son service entre Bonneuil-sur-Marne et Novarra est prolongé depuis vers quatre destinations : Bari, Pomezia, Pescara et Pordenone. Cet "axe italien" s'ajoute aux corridors méditerranéen et atlantique de T3M. Sur ces corridors, l’opérateur de transport combiné s’appuie sur neuf terminaux français. "En 2021, notre réseau a traité 2.790 trains et transporté 114.737 unités de transport intermodal pour un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros", précise Anthony Chérubini.
Réseau "P400" en construction
Novatrans-Greenmodal a profité également de la SITL pour présenter ses développements. Lors d’une conférence le 6 avril, son directeur général, Thibault Fruitier, a souligné "la diversification des liaisons avec les ports en lien avec les transports maritimes conteneurisés. Ces services s’ajoutent à notre plan de transport continental".
Sur ce dernier, la filiale du groupe Charles André propose désormais "plusieurs liaisons au gabarit P400 : Valenton-Perpignan, Valenton-Avignon, Dourges-Vénissieux et Ludwigshafen-Vénissieux. En décembre, ce réseau P400 sera complété par la liaison Dourges-Avignon-Miramas".
En parallèle, Thibault Fruitier annonce le doublement des capacités des chantiers combinés à Mouguerre, d’ici à la fin de l’année, et à Miramas-Clesud en 2023. "La demande de transport rail-route est en forte croissance. Sans nouveaux terminaux et l’extension de ceux existants, les opérateurs de transport combiné ne pourront pas y répondre", affirme-t-il.